Quatre académiciens privés de sortie !

Après le prime spécial tournée, les académiciens font preuve de laxisme ! Tel est le constat du corps professoral. Assurés d’être sur scène, les élèves auraient-ils ralenti la cadence de travail ? Les intéressés nient et pourtant le bilan des évaluations est jugé comme « désastreux » par Raphaëlle Ricci ou encore Matthieu Gonet.

Ainsi, le binôme Quentin et Bertrand a particulièrement exaspéré le jury. Leur performance sur What a wonderful world de Louis Armstrong a laissé comme un goût amer. « On a plutôt assisté à un monde affreux qu’à un monde merveilleux », ironise Raphie par rapport au titre de la chanson. Pour le répétiteur, le binôme s’est « foutu de la gueule » des jurés en proposant « un truc insipide [et] mou ». Richard Cross ne peut que confirmer : « Je suis désagréablement surpris ».

Déjà en sursis à plusieurs reprises, Claire-Marie oublie pourtant la majorité de son texte. Son duo avec Jeremy penche en la faveur du jeune homme, jugé comme le seul académicien à avoir vraiment travaillé les évals.

Trop c’est trop ! Les professeurs convoquent donc les artistes en herbe. Le niveau a été d’un tel amateurisme que la directrice sévit : puisque seuls deux candidats ont fourni un travail convenable, seuls ces deux élèves pourront bénéficier de la sortie prévue à six. Ainsi, Jeremy et Lucie se retrouvent à l’avant-première d’Astérix aux Jeux Olympiques. La jeune fille originaire du sud est particulièrement ravie : elle va enfin pouvoir aller sur les Champs Elysées, pour la première fois de sa vie.

Au château, les « punis », eux, jouent les Calimero. Quentin hausse même le ton : « Ça m’emmerde profondément », crie-t-il dans le confessionnal. Plus sage, Bertrand comprend la décision : « C’est dur mais c’est mérité ».