Sans aucun doute > 09/05/2008

Les conflits de famille ont été au cœur de ce nouveau numéro de Sans Aucun Doute. Héritage, garde d’enfants, argent, jalousie, trahison : autant de thèmes abordés avec des histoires vraies, avec des victimes défendues comme tous les vendredis par Julien Courbet et son équipe d’avocats.

Premier sujet : le désespoir d’une mère qui ne peut plus voir sa fille. Contrainte de suivre son mari dans le sud de la France, Soraya a confié sa fille Emma de 2 ans à sa belle-famille, le temps pour elle de trouver un logement décent et un travail. Depuis un an et demi, la jeune maman a tout tenté pour récupérer son enfant, ne comprenant plus les exigences ou les souhaits de sa propre famille. « Elle n’a ni à se justifier, ni à s’expliquer ! » a lancé l’avocate en plateau. L’étonnement était effectivement total face à cette situation extraordinaire. Si aucun jugement lui interdit aujourd’hui de voir Emma, même la gendarmerie lui aurait déconseillé de porter plainte. Soraya, avec les équipes de TF1, n’avait plus l’intention de reculer.

Dans une maison de retraite, un homme de 88 ans a vu s’évaporer 27 000 euros dans la nature... sans vraiment s’en rendre compte. L’affaire de Valérie et de son oncle a très vite révélé un abus de faiblesse, en plein cœur d’un établissement d’accueil de personnes âgées. L’enquête a donné la parole au vieil homme, visiblement peu capable de convertir les euros en francs... Dépouillé de ses économies, qui devra désormais payer les factures de la maison de retraite ? Les employés sont-ils au-dessus de tous soupçons ? Ce sont ces questions auxquelles Valérie a voulu des réponses. Les échanges ont été plus que vifs, révélant les méthodes peu orthodoxes des protagonistes, entre chèques falsifiés et zones d’ombre...

Dans la suite de l’émission, Jacky a ouvert son album de famille. Il n’aurait jamais touché son héritage. Un étrange viager aurait été signé juste avant le décès de ses parents... Puis Baya a mené une véritable bataille contre sa fille. Elle a été renvoyée de sa propre maison. Pire, elle continuait à en payer les loyers !