Toutelatele

Sans aucun doute > 15/02/2008

Alexandre Raveleau
Publié le 16/02/2008 à 00:10 Mis à jour le 02/06/2011 à 19:43

Julien Courbet sur TF1

L’Histoire était ce vendredi soir au rendez-vous de Sans Aucun Doute. Julien Courbet a ainsi entraîné ses téléspectateurs en plein cœur du Maroc des années 70. Le 16 août 1972, le Général Mohamed Oufkir, commandant en chef de l’armée marocaine, tentait de renverser le roi Hassan II. Connu également au travers de l’affaire Ben Barka, l’homme décéda de manière plus que mystérieuse quelques jours seulement après l’échec de sa tentative de coup d’état. Le reportage s’est poursuivi avec le destin hors normes des membres de sa propre famille, pour la plupart enfermés pendant près de 20 ans... Sauf que l’un de ses proches serait réfugié depuis plusieurs années en France et, profitant de son passé et de sa position, aurait détourné des sommes d’argent astronomiques à de nombreux particuliers. « Nous nous sommes tous fait avoir ! », avouait l’une d’entre eux. « Une manipulatrice au plus haut niveau ! » selon Pascale. Ce sont ces victimes que les équipes de l’émission ont rencontrées, remontant ainsi aux sources du « réseau » pour tenter de comprendre les origines de ces abus de confiance, voire simple escroquerie. Des millions d’euros ont été au milieu de toutes les convoitises.

Les fidèles de l’émission ont ensuite retrouvé des sujets plus proches des classiques de l’émission. Ainsi, Nicolas, jeune patron de 32 ans, a longtemps cru que l’amitié était l’une des qualités premières de l’un de ses - désormais - ancien employé... Détournement de chèques, faux bulletins de salaire, la gentillesse de Nicolas envers son « ami » l’a conduit directement jusqu’à la banqueroute... Une situation qu’il juge inacceptable, un avis partagé par les avocats autour de la table.

Puis, la piscine non achevée de Sylvie et Jean-Pierre a été au cœur des débats entre les spécialistes et un entrepreneur véreux. S’ils rêvaient d’un havre de paix au beau milieu de leur jardin, c’est un trou béant de 10 mètres sur 4 qui servait - jusqu’au passage sur le plateau - de déversoir d’hydrocarbures...