Toutelatele

Tressia (Les Ch’tis à Hollywood) : « Adixia n’apporte rien à part son joli sourire »

Par
Rédacteur - Expert TV & Séries
Publié le 23/09/2013 à 18:05 Mis à jour le 29/09/2013 à 12:02

Tressia, la blonde historique des Ch’tis, compte bien mettre à profit cette saison à Hollywood pour dépasser ses ambitions de serveuse et faire le plein d’expérience. Rencontre.

Clément Gauthier : Comment qualifieriez-vous votre rôle dans le groupe des Ch’tis ?

Tressia : Ça fait un petit moment que je réapparais dans chaque saison. Avec les six anciens, on a un rôle assez précis. Je suis plutôt peste, râleuse, fofolle et jamais contente.

Êtes-vous fière de l’image que vous dégagez dans le programme ?

Au bout de quatre saisons, je me reconnais encore dans les images de l’émission. Même si on ne peut pas tout voir en vingt minutes, c’est vraiment moi à la télévision. J’accepte tout ce qui est montré.

Pensez-vous avoir, globalement, réussi professionnellement ?

À Hollywood, c’est la première fois que je travaille autant et je peux tester de nouvelles choses. Je suis assez fière de moi. Au fur et à mesure, je me suis lancée dans une nouvelle voie. Quelque chose d’inédit qui touche à la mode.

Comment rester fixé sur ses objectifs professionnels dans une ville remplie de tentations ?

Cette année, on peut changer d’objectif. Hollywood nous ouvre les portes avec les castings de dessin animé et de photos, par exemple. Cette saison porte plus sur la découverte de plein de métiers que d’obtenir un contrat de serveuse.

« Les gens que je n’aime pas, je les envoie balader »

Dans Les Ch’tis vaut-il mieux rester en dehors des principales querelles et histoires d’amour ?

Oui, c’est un avantage, car les couples de la maison s’emmêlent. Je ne me vois pas en couple dans l’émission, je préfère mon rôle de célibataire.

Est-il préférable d’avoir le rôle de la confidente ?

Je m’entends avec la plupart des Ch’tis donc ça ne me dérange pas qu’ils viennent se confier à moi. Si je peux arranger les choses, je le fais pour mes amis. Les gens que je n’aime pas, je les envoie balader.

Partie 2 > Des nouveaux Ch’tis à la venue de Paris Hilton


Que pensez-vous de l’arrivée des trois nouveaux pensionnaires dans cette aventure ?

On est super contents d’avoir des nouveaux, mais on veut qu’ils aient du caractère et s’imposent. S’ils sont là en tant que pot de fleurs, autant rester chez soi. Maintenant, on compte beaucoup sur les nouveaux, car on est six anciens et, à force, on se connait par cœur. Il faut amener de la fraîcheur et de nouvelles histoires.

Pourquoi étiez-vous si critique envers Adixia ?

Adixia n’a pas un rôle important chez nous. Elle n’apporte rien à part son joli sourire. C’est une belle fille qui passe d’un mec à un autre sans essayer de venir vers nous. Elle est naïve et aime bien attirer l’attention des garçons. On n’apprécie pas les gens qui tentent de se mettre en avant et surjouent tout ce qu’ils font. Une nouvelle doit tenter de s’intégrer. Coralie, on ne la voit pas beaucoup, mais elle apprend à nous connaitre. J’ai eu un peu de mal avec Adixia, mais on va la faire redescendre sur terre.

Paris Hilton vous a-t-elle vraiment aidé en tant que bookeuse ?

Paris Hilton nous ouvre de nombreuses portes et nous donne plein de contacts. Je l’avais vu dans les magazines, mais je n’étais pas fan d’elle. Pour moi, elle avait fait une sextape et était héritière donc elle avait de la chance. J’ai appris à l’aimer là-bas. En fait, elle est impressionnante et ça fait plaisir d’avoir une star chez nous.

« Paris Hilton nous ouvre de nombreuses portes »

A-t-elle su motiver les troupes ?

Elle était beaucoup derrière nous pour tout ce que l’on faisait. Il ne fallait pas la décevoir. Elle nous donnait des bons contacts donc il fallait être à la hauteur.

Quelle édition des Ch’tis vous restera le plus en mémoire ?

J’ai un très bon souvenir sur chaque saison, mais celle à Hollywood reste particulière. Je testais plein de choses. Pendant les dix semaines à Hollywood, je ne restais pas collée à mon objectif professionnel, en tant que serveuse par exemple.