Toutelatele

JT 13H : Marie-Sophie Lacarrau absente, Julian Bugier assume

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 13/02/2022 à 12:46

Après une année 2021 réussie, Julian Bugier est reparti au combat avec les Présidentielles en ligne de mire. En l’absence de Marie-Sophie Lacarrau, le journaliste réduit les écarts avec TF1.

Depuis janvier 2021, le duel du 13 heures oppose Marie-Sophie Lacarrau (TF1) à Julien Bugier (France 2). Pour l’heure, les deux anciens collègues n’ont plus l’occasion d’en découdre car la Toulousaine est sur la touche à cause de troubles oculaires. Elle n’a toujours pas piloté le moindre journal télévisé en 2022.

De son côté, Julian Bugier peut se targuer d’avoir rehaussé le niveau du 13 heures de France 2. En 2021, le journal de la mi-journée a réuni 2.7 millions de téléspectateurs et 21.9% de l’ensemble du public, pour un gain de 1 point en 2 ans.

Sur TF1, Marie-Sophie Lacarrau s’est située à hauteur de son illustre prédecesseur, Jean-Pierre Pernaut, en franchissant le cap des 5 millions de curieux, soit 41% du public.

Jacques Legros en difficulté sur TF1 ?

En janvier 2022, Jacques Legros est loin d’avoir maintenu cette dynamique puisque le joker de toujours sur TF1 atteint rarement le cap des 40% en part d’audience.

En interview pour Télé Loisirs, Julian Bugier s’est félicité d’apporter un coup de neuf à ce rendez-vous journalier de l’information : « Nous avons créé de nouveaux rendez-vous dans la seconde partie de l’édition. Il y a une rubrique sur la consommation baptisée « Derrière les étiquettes » et « Une idée pour la France », pour laquelle Valérie Heurtel sillonne le pays. Nous recevons beaucoup de mails positifs à ce sujet ».

Julian Bugier « assume » la comparaison avec Jean-Pierre Pernaut

À quelques semaines du premier tour de la Présidentielle, le 13 heures de France 2 ne compte pas rester inactif : " Nous nous déplacerons une fois par mois jusqu’à l’élection présidentielle, dans un coin de France où une problématique locale à une résonance nationale. C’est une organisation dingue mais j’en suis immensément fier car j’ai vu à quel point les habitants de ces villes y ont trouvé de la reconnaissance

Enfin, il a répondu à une comparaison le qualifiant de « Jean-Pierre Pernaut junior », ce qui n’est pas pour déplaire au chef d’orchestre du magazine Tout compte fait : « Si faire un journal de la mi-journée en mettant un peu de sourire et en faisant parler les régions, c’est du Jean-Pierre Pernaut, alors j’assume totalement ! »