Toutelatele

William à midi (C8) : William Leymergie sur le départ ?

Par
Rédacteur - Expert TV
Publié le 07/11/2021 à 15:29 Mis à jour le 27/05/2022 à 00:29

En cette rentrée 2021, William Leymergie continue d’oeuvrer à l’heure du déjeuner sur C8 à travers William à midi. L’ex-animateur de Télématin sur France 2 n’entend pas raccrocher de sitôt...

À l’issue de la saison 2016/2017, William Leymergie s’est lancé un nouveau défi. Après trente-deux ans passés à la présentation de Télématin, l’animateur-producteur a quitté France 2 pour reprendre la mi-journée de C8, laissée vacante par La nouvelle édition de Daphné Bürki.

William Leymergie : le pari gagnant de C8 ?

Au fil des mois, William Leymergie a réussi son pari d’installer une nouvelle émission quotidienne. Parallèlement au succès de Cyril Hanouna en access prime time, l’ex-animateur emblématique de Télématin a redoré l’audience de C8 à l’heure du déjeuner avec William à midi .

Dans la foulée d’une première suivie, flirtant avec les 1% de part de marché, le magazine de consommation a permis au canal 8 de disputer le leadership des audiences TNT. Une tendance non démentie sur les premières semaines de la saison 2021/2022.

Aucune lassitude pour William Leymergie

Alors que la culture du clash n’a cessé de se renforcer sur les plateaux de télévision, William Leymergie s’est attelé à apporter de la bienveillance avec William à midi. « Les émissions de provocation sont très nombreuses. Poum, paf, il faut que ça pète, il faut faire du buzz ! Je ne sais pas faire ce type de télé », a réagi l’animateur-producteur, qui n’exprime aucune lassitude à mener la mi-journée de C8 depuis maintenant quatre ans.

« Je ressens toujours beaucoup de plaisir. Dans William à midi, on aborde chaque jour de nouveaux thèmes », a-t-il souligné auprès de Télé 2 Semaines.

Un patron trop autoritaire ?

Si l’heure n’est pas à la retraite, William Leymergie n’angoisse pas à l’idée de devoir quitter un jour le petit écran. « C’est assez loin, mais cela ne m’effraie pas. En revanche, il faudra qu’il y ait encore un peu de télé dans ma vie, en production par exemple. Et ça me permettra de courir plus ou de faire du vélo avec Michel Drucker ! », a-t-il précisé, avant de réagir à l’information selon laquelle il serait un patron autoritaire.

« J’ai exercé des professions où il était nécessaire d’avoir de l’autorité. J’aime maîtriser le moindre détail, mais c’est normal d’être interventionniste, car j’assume la responsabilité de tout ce qui se passe à l’antenne », a-t-il expliqué.