Amir (L’aventure Robinson, TF1) : « J’ai eu peur d’un clash avec Christine Bravo »
Ce vendredi 17 août à 21 heures, TF1 proposera le deuxième numéro de L’aventure Robinson . Après Maître Gims et Kendji Girac, Denis Brogniart, animateur emblématique de Koh-Lanta , a décidé d’emmener Amir et Christine Bravo sur une île mystérieuse et abandonnée afin de leur faire vivre une expérience inédite.
Le finaliste de la troisième saison de The Voice , qui est parvenu à faire triompher la France lors de l’Eurovision 2016, s’est retrouvé avec la complice de Laurent Ruquier sans aucune nourriture. Dans une jungle hostile et très dense, ils ont eu pour objectif de rejoindre leur bivouac. Les deux artistes ont été coupés du monde pendant cinq jours, le tout livrés à eux-mêmes. Ensemble, ils ont affronté la nature pour remporter le maximum d’argent pour l’association qu’ils ont choisie à travers des épreuves stratégiques et sportives.
Dans un entretien accordé à Télé 7 Jours, Amir est revenu sur cette expérience hors du commun. « Je voulais me découvrir sous une autre lumière, voir comment je pouvais affronter des extrêmes, relever des défis, au bout du monde, livré à moi-même », a-t-il expliqué, tout en soulignant avoir hâte que ses amis puissent le voir évoluer dans un « environnement si hostile, éloigné » de ce qu’il représente. « Pour eux, ce genre de défi, c’était forcément un calvaire pour moi ! », a-t-il ajouté.
Celui qui précise n’avoir rien d’un baroudeur a vécu une aventure semée d’embûches. « La première nuit. Je me trouvais, seul sur une crête, en haut d’une montagne. Il y avait du vent et il faisait tout noir, pas de lune. Impossible de dormir ! », a-t-il indiqué. Alors que leurs caractères s’opposent, Amir a confié avoir redouté un clash avec Christine Bravo. « Je me suis dit que si jamais elle n’arrivait pas à me donner cette sérénité dont j’avais besoin, je serais encore pire qu’elle. Etonnamment, c’est elle qui s’est adoucie et moi qui me suis lâché davantage. Au final, nous avons formé un binôme très complémentaire », a-t-il conclu.