C’est que de la télé : Valérie Bénaïm accélère sa chute avec une ex-star de TF1

Le mardi 3 septembre, C’est que de la télé a signé son grand retour. Pour sa deuxième saison à la tête du talk d’actualité de C8, Valérie Bénaïm a abandonné trente minutes d’antenne au profit de Touche pas à mon poste.

Ce jeudi 12 septembre, celle qui officie également dans TPMP clôturait la deuxième semaine de la saison 2019/2020 de C’est que de la télé. Dès 17h45, elle a été accompagnée de Caroline Ithurbide, Ludivine Rétory, Jean-Michel Cohen et Nicolas Bays, nouvelle recrue de l’émission. Jacques Pradel, animateur phare de TF1 dans les années 90, est venu présenter son livre « Grain de sable ». Il a choisi le plateau de C’est que de la télé pour partager les histoires qui l’ont le plus marqué en matière de crimes parfaits. La P1 de Valérie Bénaïm a convaincu une moyenne de 116.000 téléspectateurs, soit 1.5% de l’ensemble du public âgé de quatre ans et plus.

C8 battue par Arte et RMC Découverte

Puis, à 18h10, Caroline Ithurbide a vivement réagi à un reportage du 20 heures de France 2, consacré au thème « Du poulet gonflé à l’eau vendu à des associations caritatives ». La chroniqueuse de William à midi a défendu la théorie « Mariage en ligne, mariage heureux ? ». Le clonage d’un chaton en Chine a fait débat en présence de 178.000 téléspectateurs, soit 2% de l’ensemble du public. Positionné à un niveau décevant ces derniers jours, C’est que de la télé a accéléré sa chute. L’émission a atteint son plus bas niveau de la saison, reléguant C8 derrière l’offre documentaire d’Arte (2.3% du public), Un dîner presque parfait sur W9 (3.1% du public) et Les routes de l’impossible sur RMC Découverte (3.1% du public).