Jean Bastouill, accusé et libéré, témoigne devant les caméras d’Enquêtes criminelles

Chaque mercredi en prime sur W9, Sidonie Bonnec propose un nouvel inédit d’Enquêtes criminelles. Depuis le début de l’année 2015, le magazine a vu ses audiences en nette progression avec jusqu’à deux fois plus de téléspectateurs sur quatre numéros. Le 4 février dernier, en retraçant le huit clos familial autour de la mort de Ruth Légeret, W9 a dépassé les 900 000 curieux, soit 3.9% du public.

Ce 11 février, l’émission se focalisera sur l’affaire Bastouill, drame familial survenu au cours de l’été 2008. La fille de Jean Bastouill décède brutalement d’une rupture d’anévrisme selon les constatations du docteur Jean-Charles Messmer, qui n’est autre que son mari. Mais rapidement, ce dernier est suspecté de meurtre. Le corps incinéré, aucune preuve n’a pu s’avérer suffisante. Pour Jean Bastouill, la culpabilité de son gendre ne faisait aucun doute. À 88 ans, il a donc été condamné à 10 ans de prison pour le meurtre de Jean-Charles Messmer. Le plus vieux détenu de France a fait appel, et a été libéré le 5 février jusqu’à son procès, prévu fin 2015.

En plein cœur de l’actualité, Enquêtes criminelles va retracer dès 20h50 cette sombre affaire. Pour l’occasion, Jean Bastouill a accepté de s’exprimer devant les caméras de W9.