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Vianney (W9 d’or 2017) : « Je n’ai aucune légitimité pour être coach dans The Voice »

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 27/12/2017 à 18:30

Ce mercredi 27 décembre à 21 heures, W9 diffusera la deuxième édition des W9 d’or. Le chanteur Vianney dresse le bilan de son année musicale et se confie sur ses opportunités de devenir coach dans un télé-crochet.

Benoît Mandin : Comment abordez-vous cette cérémonie des W9 d’or 2017 ?

Vianney : Je suis très touché d’être convié aux W9 d’or. Pour moi et mon équipe, cela est le signe d’un bon travail cette année. Je suis content que l’on soit récompensé. C’est également un plaisir, car W9 a toujours été présent depuis le début de ma carrière.

Vous êtes cité dans les catégories du titre le plus écouté à la radio et en streaming...

Je suis très flatté d’être dans ces classements. Je n’y suis pas pour grande chose, c’est vraiment le public qui l’a permis. Cette soirée parle vraiment de chiffres alors que c’est quelque chose dont je me fous... Elle est là pour remercier l’appréciation du public donc je suis touché d’être présent dans ce que les Français ont aimé cette année.

Quel bilan tirez-vous de 2017 ?

J’ai appris beaucoup de choses et j’ai progressé en musique. J’ai également vécu des moments forts humainement et je retiens que j’ai une équipe en béton. Pour 2018, j’espère une belle fin de tournée dans une ambiance familiale et artisanale. C’est important pour moi de garder un côté intime et familial pour la tournée des zéniths.

Que pensez-vous de la place donnée aux divertissements musicaux à la télévision ?

Je ne regarde pas assez la télé pour la juger. Je ne l’ai que depuis cette année et je n’y connais rien (rires). Il y a déjà des beaux programmes comme Taratata ou Alcaline qui existent, mais ce serait mieux qu’ils y en aient plus. W9 fait aussi beaucoup de choses pour la musique.

Cette année, votre nom est revenu avec insistance dans la presse pour intégrer le jury de The Voice. Que cela vous évoque-t-il ?

Je trouve que je n’ai aucune légitimité à y être coach. J’ai 26 ans, je me vois mal me retrouver face à des candidats de mon âge et leur donner des conseils. Quand j’aurai cinquante ans, cela pourrait me faire plaisir de partager mon expérience.