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L’Amour est dans le pré 5 > Freddy fou amoureux de Magalie

Tony Cotte
Publié le 28/06/2010 à 20:40 Mis à jour le 05/07/2010 à 23:55

Karine Le Marchand sur M6

Après Guy, Nicolas, Agnès, Philippe et Pascal la semaine dernière, place à la suite de l’aventure pour Yoann, Freddy, Sylvie, Vincent, Jean-Pierre et Alain. Les speed-dating parisiens terminés, les six agriculteurs ont convié leurs coups de cœur à passer quelques jours sur leur exploitation afin de découvrir la vie à la ferme...

Première escale de cet épisode : les Deux-Sèvres. Freddy, 39 ans, maraîcher bio, passe une première journée avec Sylvie. Par manque de place chez lui, l’éleveur de vaches allaitantes a loué un gîte. Heureusement pour lui, son invitée sur place est auxiliaire de vie et a l’habitude d’être aux petits soins avec les autres. Levé très tôt pour nourrir les bêtes, l’agriculteur est réglé comme une pendule et, chaque jour à 9 heures, prend son petit déjeuner chez sa mère avec, au menu, pomme de terre et verre de vin.

Quelques minutes plus tard, le grand moment est arrivé et Freddy se rend seul, dans ses plus beaux habits, à la gare pour retrouver Magalie, sa deuxième prétendante et son véritable coup de cœur. Pour mettre toutes les chances de son côté, l’intéressé a même commandé un bouquet de fleurs. Mais à l’arrivée de la demoiselle, Freddy est tellement troublé qu’il déforme son prénom en « Malaga » ! Ce petit incident ne le décourage pas pour autant et il invite sa belle au café de la gare. Au cours de ce « moment d’intimité », Freddy raconte son escapade parisienne vieille de plusieurs décennies quand il allait voir L’École des fans... version Jacques Martin ! Puis, face à une marée de compliments, Magalie craint d’ « avoir les chevilles qui enflent ». « Pourquoi t’es trop serrée ? », demande alors le bien brave agriculteur.


En Côte-d’Or, Alain se montre, quant à lui, plutôt tendu. Les filles veulent aider le céréalier, mais deviennent vite entreprenantes, à commencer par Fanny toujours prompte à se faire remarquer. À table, la « cancoillotte » devient ainsi « coucougnette » ! De quoi faire rire le duo féminin et mettre mal à l’aise leur hôte. En cette fin d’année, le céréalier a moins de travail et consacre donc son temps à ses invitées. Pour les impressionner, ce dernier montre le lendemain ses nombreuses machines. Mission accomplie !

Dans le Loiret, Emmanuelle, la deuxième prétendante de Yoann, arrive de Suisse. L’agriculteur de 34 ans se rend vite compte qu’il a choisi deux femmes aux caractères très opposés. Si la dernière arrivée s’intéresse à son hôte, Géraldine, elle, procède à l’inspection des lieux une fois chez lui et n’hésite pas à faire des remarques en s’attardant, notamment, sur la baignoire dénuée d’un pommeau de douche. Quelques minutes plus tard, la demoiselle surveille même l’installation électrique de la maison ! Très gentleman, Yoann répond aux très nombreuses requêtes de cette dernière et confie, curieusement, apprécier cette ambiance. Le lendemain, l’agriculteur propose une visite de son exploitation et en profite pour présenter ses deux invitées à sa maman.

Jean-Pierre, 39 ans, éleveur de vaches laitières et aviculteur dans le Morbihan, confie, pour sa part, que sa mère, décédée il y a moins d’un an, a confondu son fils avec son mari... « Je suis à un âge aujourd’hui où je suis à un tournant  », confie-t-il. Un virage que Christelle est bien décidée à prendre. Mais très jalouse, celle-ci s’isole au moindre rapprochement entre l’agriculteur et Nadège, sa concurrente.


Dans la Vienne, chez Sylvie, Philippe, est le seul prétendant à passer la semaine. Pour ce premier soir, le binôme se rend au restaurant. Sur le trajet, l’ambiance est propice aux confidences et l’éleveuse de chevaux évoque, non sans l’insistance de son interlocuteur, ses défauts. Parmi eux, Sylvie dit ne pas être « expérimentée » dans tout l’aspect intime d’une relation. Une fois au restaurant, Philippe, quant à lui, enchaîne avec son sujet de prédilection : la nutrition. De quoi provoquer la honte de la jeune femme désireuse de commander une entrecôte avec des frites et de la sauce béarnaise. Pour autant, son invité la rassure et sait trouver les mots pour la rassurer quant à leur probable relation. Mais chargée de travail, Sylvie n’a pas le temps pour la séduction...

Enfin, Vincent, éleveur de brebis dans le Maine-et-Loire, n’a jamais vécu en couple. Désormais prêt à fonder une famille, le candidat a flashé sur Élodie et Laëtitia lors du speed-dating parisien. Au premier soir, cette dernière a le droit à un repas au restaurant et n’hésite pas à évoquer sa « relation fusionnelle » avec son chien. La jeune femme confie ne jamais avoir été séparée de son animal plus d’une journée et angoisse à l’idée de ne pas le voir pendant six jours... « Elle m’a saoulé avec son cleps  », confie celui-ci après coup.