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Ben (France 2) : Barbara Schluz, héroïne du Mystère du lac, enquête avec Samir Guesmi

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 11/04/2018 à 17:39

Ce mercredi 11 avril à 21 heures, France 2 donnera le coup d’envoi de Ben . Composée de six épisodes, l’adaptation française d’une série danoise à succès sera diffusée à raison de deux inédits chaque mercredi en première partie de soirée. Au casting, les téléspectateurs pourront retrouver Barbara Schluz, Sigrid Bouaziz, Samir Guesmi, Axelle Dodier et Paul Bartel.

La série met en scène Bénédicte, une journaliste de faits divers. Alors qu’elle signe son grand retour à Nantes, sa ville natale, elle se lance à la recherche de l’enfant que ses parents lui ont arraché quand elle était adolescente. L’enquête l’emmène à plonger dans trois affaires passionnantes et émouvantes qui questionnent les lieux familiaux. Pour la première, elle se rend sur une scène de crime où elle découvre le corps sans vie d’une étudiante qui venait à peine d’accoucher...

Dans un entretien accordé à Télé 7 Jours, Barbara Schluz s’est confiée sur son nouveau rôle de journaliste à la télévision. « Nous avons tourné dans la rédaction de Ouest-France. Une journaliste m’a pris sous son aile. Je l’ai accompagné au palais de justice, à l’un de ses rendez-vous avec le procureur pour faire le point. Elle m’a fait passer pour une stagiaire », a-t-elle expliqué, tout en soulignant son souhait de mettre en avant l’aspect humain de son personnage. « Bénédicte a été élevée par des parents Témoins de Jéhovah qui l’ont tenue à l’écart du monde. Elle considère que sa jeunesse a été abusée par des préceptes de ce mouvement. Elle a fait de sa vie un combat pour la vérité », a-t-elle ajouté.

Concernant les méthodes d’investigation de Ben, Barbara Schluz a indiqué qu’elle « cultive un petit côté culotté, irrévérencieux, voir même un peu voyou ». Pour l’adaptation de la série danoise, Dicte , la comédienne a assuré que la série française possédait sa spécificité. « Nantes n’est pas Aarhus, la musique est différente et l’interprète danoise ne me ressemble pas du tout », a-t-elle précisé. Interrogée sur les rapports de Bénédicte et du capitaine Laurent Wagner, elle a affirmé qu’ils étaient « comme chien et chat ». « Ils se respectent, même s’ils ne se supportent pas. Mais ils ont besoin l’un de l’autre pour faire avancer leurs enquêtes », a-t-elle conclu.