Michel Cymès (Les pouvoirs extraordinaires du corps humain) : « J’aime les défis donc rien ne m’arrête »
Pour le second volet des Pouvoirs extraordinaires du corps humain, diffusé ce 21 mai sur France 2, Michel Cymes revient sur sa connexion avec son autre blonde, Adriana Karembeu, avant d’évoquer le sensationnalisme du premier épisode. Donnant un coup de main à la productrice, il aborde de plausibles futurs thèmes de l’émission...
Clément Gauthier : Comment est née votre collaboration avec Adriana Karembeu ?
Michel Cymes : La production m’a appelé pour me proposer ce projet en me disant : « Ce sera avec Adriana Karembeu ». On ne m’a pas demandé : « Est-ce que vous aimeriez ? ». J’étais néanmoins hyper heureux de cette association quelque peu insolite.
Lors de la première émission, aviez-vous des appréhensions pour le défi des 500 mètres du Mont Blanc à parcourir ?
Oui, parce que j’ai la peur du vide. Je crois que ça s’est vu pendant l’émission. Je n’avais pas d’appréhension quant au défi sportif. J’aime les défis donc rien ne m’arrête à partir du moment où je ne mets pas ma vie en danger.
Que retenez-vous de plus marquant dans la première édition du 20 novembre ?
Notre aventure était la plus marquante parce qu’on l’a vécue directement. La bouffée d’émotion quand on atteint le sommet est le moment le plus mémorable. C’est le truc que je n’avais ni imaginé ni appréhendé. C’est un moment où on a souffert, car on a manqué d’oxygène, le cerveau n’est donc plus en conditions optimales. On se met alors à pleurer devant cet endroit mythique.
Avez-vous des phobies inavouées ?
Franchement, non. Je n’ai juste pas envie de mourir noyer. Ça m’emmerderait, c’est une mort qui ne me plait pas !
Quels thèmes serait-il judicieux d’aborder pour de prochains épisodes ?
Une émission sur le cerveau serait fascinante. La vie dans l’espace, s’il est réalisable, est un sujet qui m’intéresse fortement. Comment fera-t-on pour vivre dans l’espace ? Comment feront les cosmonautes pour voyager trois à quatre ans ? Avec Les pouvoirs extraordinaires du corps humain, je pense qu’on peut signer pour dix ans étant donné la pluralité des sujets à aborder.