Accès Privé > 27/09/2008

L’émission « pour être plus proche des stars » débute un nouveau numéro avec une enquête sur la face cachée de Zidane. L’occasion de revenir sur la sortie de la biographie non-autorisée du sportif par
Besma Lahouri. La journaliste a eu beaucoup de mal à rédiger son ouvrage et certains de ses écrits ont même été dérobés chez son éditeur. Alors peut-on toucher à Zidane ? Apparemment non ! L’entourage de l’ex numéro 10 fait ainsi pression sur les médias et ses sponsors veillent à ce que l’image de « Zizou » ne soit pas ternie. Il doit rester un modèle quoi qu’il fasse et rien ne semble vaciller le mythe, même après l’ « affaire du coup de boule ». Au contraire, ce geste aurait humanisé la star à en croire les spécialistes.

S’il est difficile de se faire de l’argent sur la facette sombre de Zinedine Zidane, empocher des billets verts sur les malheurs de Britney Spears est un véritable jackpot. La descente aux enfers de l’interprète de Gimme more est une énorme industrie « qui rapporte beaucoup d’argent à beaucoup de monde ». Sheeraz Hassan, fondateur de l’agence Hollywood.tv, a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 10 millions de dollars sur le dos de l’artiste à ce jour. Son plus gros coup : le soir où Britney est emmenée de force dans un hôpital après une crise de folie. Depuis, la mère de Sean Preston et Jayden James va mieux, grâce à l’intervention de sa famille. Mais voilà, la star intéresse beaucoup moins les paparazzis si elle est en forme. Tout est bon donc pour harceler la star et la faire craquer devant les caméras. Sa période sombre, aujourd’hui derrière elle, a fait vivre plus de 10 000 personnes rien que sur le sol américain ! En allant mieux, l’interprète de Toxic créer ainsi, sans le savoir, du chômage...

S’il y a un qui ne chôme, c’est bien Clovis Cornillac. Avec une moyenne de trois films par an, l’acteur empoche jusqu’à 1 million d’euros par tournage. Les caméras d’Accès Privé ont même suivi le lyonnais pour la promotion de Faubourg 36, en jet privé ! « Je n’ai jamais fait ce métier pour ça », jure t-il. Après 75 films et 15 ans de théâtre Clovis Cornillac n’aime toujours pas se regarder, c’est pourquoi il apprécie la séance de maquillage. Un problème d’image de soi qu’il ne semble toujours pas prêt à régler...