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Alexandre Brasseur : pourquoi il a accepté de jouer dans Léo Mattéï

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Rédacteur - Expert TV & Cinéma
Publié le 29/02/2024 à 19:44

L’épisode Léo Mattéï, brigade des mineurs diffusé ce jeudi 29 février 2024 verra Alexandre Brasseur interpréter Thomas, un père de famille perdu. Il a expliqué ce qui l’avait poussé à accepter le rôle.

Ce jeudi 29 février 2024, la série Léo Mattéï, Brigade des mineurs  revient avec une aventure inédite sur TF1. La première partie de l’épisode « Le cavalier blanc » est ainsi diffusée, mais les téléspectateurs vont ensuite devoir attendre le jeudi 7 mars 2024 pour en connaître la fin.

Dans cet épisode, la brigade des mineurs doit partir à la recherche de Yanis, 12 ans, introuvable depuis que le jour où sa mère a été arrêtée pour meurtre. Yanis est passionné d’échec, Léo Matteï et son équipe vont découvrir qu’il va se servir de ce jeu aux possibilités infinies pour les mettre sur sa trace.

Alexandre Brasseur débarque dans Léo Mattéï

Au casting de cet épisode, les téléspectateurs de TF1 retrouveront notamment un des visages bien connus de la chaîne : Alexandre Brasseur. Ce dernier s’est confié à Télé 7 jours sur ce rôle. Il interprète Thomas, un père de famille que va aider la brigade des mineurs.

Le comédien explique : « Son petit garçon présente des symptômes d’autisme, et il est mal à l’aise pour communiquer avec lui. D’autant que Thomas est sous l’emprise d’une mère manipulatrice, il lui est donc difficile de développer une relation sereine avec son fils, même s’il l’aime profondément ».

Les comédiens de Demain nous appartient omniprésents sur TF1

Alexandre Brasseur apparaît dans Léo Mattéï juste après Ingrid Chauvin, interprète de sa femme à l’écran dans le feuilleton Demain nous appartient . Il assure cependant qu’il s’agit d’une coïncidence : « Je ne savais même pas qu’Ingrid tournait aussi dans Léo Matteï. J’étais simplement heureux de participer à une série qui a du fond, avec un message fort sur l’enfance maltraitée ».

Il a également accepté ce rôle car il avait envie de tourner avec Jean-Luc Reichmann : « Tous les deux, on attendait ça depuis longtemps. J’ai beaucoup apprécié les séquences d’interrogatoire. D’habitude, elles se déroulent dans des commissariats. Là on état en pleine lumière, au bord de l’étang de Berre, un environnement propice à de très jolies scènes ».