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Anne-Sophie Lapix : son annonce embarrassante après un incident sur France 2

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Rédacteur - Expert TV & Cinéma
Publié le 05/07/2023 à 20:51

Lors de l’édition du mardi 4 juillet 2023 du Journal de 20 heures sur France 2, Anne-Sophie Lapix a été forcée de faire une annonce embarrassante après un récent incident sur l’antenne de la chaîne publique.

Ce mardi 4 juillet 2023, Anne-Sophie Lapix présentait une nouvelle édition du Journal de 20 heures sur France 2. Les téléspectateurs fidèles du JT auront remarqué que la présentatrice ne se trouvait pas sur le plateau habituel, mais plutôt sur celui du 19/20 de France 3.

Le plateau du journal était en réalité en travaux, forçant les équipes de France 2 à déménager provisoirement. Les chaînes de France Télévisions sont également frappées par une grève, organisée par les syndicats pour protester contre la suppression des journaux nationaux de France 3 à la rentrée prochaine.

L’annonce d’Anne-Sophie Lapix sur France 2

Anne-Sophie Lapix a ouvert son journal avec l’arrestation d’un homme à Angers, accusé d’avoir tué deux personnes. Le JT s’est également intéressé à la proposition des Républicains de sanctionner les parents de délinquants mineurs, et à l’opposition que lui imposent les partis de gauche.

La présentatrice a ensuite passé un message : « Hier, nous évoquions l’enquête sur la mort de Nahel, nous avons, pour cela, utilisé le travail de l’ONG Index, qui a tenté de rendre le son de la vidéo plus audible, mais sans parvenir à une conclusion ».

Télématin pris à défaut

Elle explique ensuite l’erreur réalisée par France 2 : « Les sous-titres que nous avons utilisés donnaient eux, une version de l’IGPN, nous nous excusons pour cette erreur auprès de l’ONG et de tous nos téléspectateurs ». Le journal était ensuite consacré à d’autres sujets, comme la guerre en Ukraine.

La journaliste fait notamment référence à l’incident qui s’est produit lors de l’édition du lundi 3 juillet 2023 de Télématin , où un des intervenants avait indiqué que le son de la vidéo indiquait que les policiers n’avaient pas menacé Nahel, alors que l’enquête n’était pas terminée. La chaîne avait été ensuite dénoncée par plusieurs médias, dont Médiapart et le Parisien, la forçant donc à s’excuser quelques jours plus tard.