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Combien ça coûte, l’hebdo > 27/09/2009

Tony Cotte
Publié le 27/09/2009 à 17:50 Mis à jour le 09/05/2011 à 22:27

Jean-Pierre Pernaut et Justine Fraioli sur TF1

Exit les tribulations des habitants de la maison des secrets, en ce premier dimanche de l’automne, le duo Jean-Pierre Pernaut et Justine Fraioli est de retour aux commandes de Combien ça coûte, l’hebdo.

Pour cette deuxième saison, le magazine dominical de la chaîne privée a prévu du lourd avec un sujet sur la mode XXL. À l’heure où la semaine des défilés s’apprête à donner son coup d’envoi, plus d’une Française sur trois porte une taille 44 ou plus. Si, non sans humour, l’animateur fait remarquer que c’est également son cas, les caméras de l’émission ont préféré s’attarder sur le cas de Stéphanie. Lors d’une escapade shopping, celle-ci est obligée de se rendre au sous-sol d’un grand magasin pour trouver sa taille avant de dénicher quelques pièces moins brillantes que les modèles en vitrine et généralement de couleur noire. « Comme si on était malade », ironise notre sujet. Si cette « injustice » fait sourire Stéphanie, Marianne James, elle, la dénonce : « On aimerait bien faire du shopping nous aussi. (...) Il faut que le pays de la mode soit plus généreux. »

C’est un fait : le business du stationnement est un créneau en or. À l’heure où les places des centres-villes disparaissent peu à peu, les rares disponibles voient leur prix augmenter de 20%. Autant dire, la politique « zéro voiture en ville » rapporte. Pour s’en assurer, les équipes de Combien ça coûte, l’hebdo se rendent au Touquet. Ici, certaines places de stationnement sont gratuites, à condition de ne pas excéder 3600 secondes. Grâce à des capteurs au sol, les stations automatiques décomptent 60 minutes avant d’avertir, en temps réel, la police municipale. Issy-les-Moulineaux, Bastia et Poitiers s’équipent actuellement de ce système.

Enfin, rentrée oblige, le magazine dominical prend la direction des cours d’école les plus chères de France. Rendez-vous est pris dans une petite ville du Lot-et-Garonne. Ici, les parents les plus fortunés peuvent placer leurs enfants dans cette école privée à 22 000€ l’année scolaire. L’établissement ne bénéficie d’aucune subvention de l’état et ne doit rendre aucun compte à l’éducation nationale. L’uniforme y est obligatoire, les enseignants sont triés sur le volet et le vouvoiement est exclusif. Si le corps professoral bénéficie de 5 semaines de congés payés seulement, le salaire est, en moyenne, 20% supérieur que dans le public...