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De Max à Maxine (6ter) : comment Anne Friel a défrayé la chronique

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Directeur de la publication
Publié le 13/02/2019 à 18:18 Mis à jour le 18/02/2019 à 23:09

Ce mercredi 13 février, 6ter met à l’antenne la mini-série britannique de ITV Butterfly. Programmée chaque dimanche d’octobre 2018, elle avait alors convaincu 2.5 millions de téléspectateurs en moyenne sur ses trois semaines de diffusion. Une performance plutôt faible pour la chaine face à The Cry, la nouvelle série à succès à découvrir prochainement sur M6, qui a rassemblé près du double de curieux.

De son côté, la chaine de la TNT HD du groupe M6, mise sur une soirée transversale avec les trois épisodes diffusés les uns à la suite des autres, et un documentaire sur les transgenres.

Rebaptisée De Max à Maxine, la fiction met en scène Max, un garçon de 11 ans bien mal à l’aise avec son corps. Ce dernier ressent le besoin d’être une fille. Et si sa mère, Vicky Duffy veut tout faire pour aider son fils, son père, Peter, quant à lui, rejette totalement la situation. De quoi renfermer Max et le faire douter de lui-même.

Actrice bien connue outre-Manche, Anna Friel avait incarné dans les années 90 la jeune Beth Jordache dans la série Brookside. Elle avait alors défrayé la chronique en offrant un baiser lesbien. En 2017, peu avant Butterfly, la comédienne s’est glissée dans la peau de Erica Myles dans The Girlfriend experience où elle a partagé une scène plutôt torride avec une autre femme. Comme elle l’indique lors d’un entretien accordé au journal Independent : « Je ne cherche pas activement la controverse. Mais je ne dis pas non à des projets intéressants  » ajoutant « Je n’aurais jamais pensé que le baiser lesbien allait provoquer une telle agitation. Depuis nous avons parcouru du chemin… »

De son côté, le jeune Callum Booth-Ford trouve avec De Max à Maxine son premier grand rôle. Il avait été vu dans deux épisodes de la série Peaky Blinders.

Juste après la fiction, à 23h40, 6ter rediffusera le documentaire Fille ou garçon ? le dilemme des transgenres, vu dans Zone interdite en 2017. Il avait alors séduit 3 millions de Français, soit 12.4% de part d’audience, dont 23% des femmes de moins de 50 ans.