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Emeric (L’amour est dans le pré, saison 13) : « Je ne vis pas comme un bogoss ! »

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 20/08/2018 à 18:47 Mis à jour le 20/08/2018 à 22:24

Ce lundi 20 août à 21 heures, M6 donnera le coup d’envoi de la saison 13 de L’amour est dans le pré. Emeric se confie sur son aventure et revient sur le succès qu’il a depuis la diffusion de son portrait en début d’année.

Benoît Mandin : Pourquoi avoir participé à L’amour est dans le pré ?

Emeric : La difficulté de trouver l’amour. Jusqu’à présent, j’attirais toujours les filles qui ne savaient pas ce qu’elles voulaient. Je n’avais pas envie de me mettre en couple pour être simplement à deux. Je souhaitais vraiment trouver la bonne personne, la fille avec qui j’ai envie de partager la fin de ma vie.

Certains vous qualifient de « bogoss de la saison ». Comment le vivez-vous ?

Je ne pensais pas avoir autant de succès. Certes, on dit que je suis le « bogoss de la saison », mais avant l’émission, j’étais le même. Je ne vis pas comme un bogoss ! Thomas est très beau, Raoul est pas mal aussi… J’étais pareil avant, rien n’a changé.

Vous avez reçu un nombre record de courriers. Dans quel état d’esprit étiez-vous lors de l’ouverture ?

On m’avait dit que j’allais avoir du courrier, mais je ne m’attendais pas à autant. Après, je suis apparu tel que je suis vraiment lors de la diffusion de mon portrait. Je redoutais un peu surtout que ma photo est apparue sur Facebook la veille. Des téléspectateurs sont venus chez moi, c’est flippant ! Des gens que je n’avais pas vu depuis dix/quinze ans m’ont dit que j’étais toujours le même et que je n’avais pas changé. La production nous accompagne bien et nous aide à affronter ce que va changer la diffusion de l’émission.

« Des téléspectateurs sont venus chez moi, c’est flippant ! »

Comment vous êtes-vous organisé ?

J’étais rincé à la fin de journée. Ça a été dur de faire un tri et de ne garder que dix courriers. Puis, avoir deux prétendantes à la maison, c’est flatteur ! A la différence du speed dating, j’ai pu découvrir comment elles se comportaient dans la vie réelle. J’ai pu leur montrer ma région et mon travail. Je n’ai pas souhaité travailler avec les deux en même temps pour vraiment mieux les connaître.

Ne redoutiez-vous pas une compétition entre vos prétendantes ?

Bien sûr, j’appréhendais. Les deux filles se sont très bien entendues dès le début et le séjour s’est bien passé. Il n’y a pas eu de crêpage de chignons et d’engueulades. J’ai pris deux filles très gentilles, le public va rapidement pouvoir le découvrir.

Quel bilan tirez-vous de l’aventure ?

Je ne regretterais jamais d’avoir participé à L’amour est dans le pré. Après la naissance de ma fille, mon inscription à l’émission a été le deuxième meilleur choix que j’ai fait dans ma vie. C’est une chance incroyable de pouvoir vivre cela ! Dans cinq ou six ans, je pense que j’aurai encore des contacts avec les autres agriculteurs de la saison qui sont devenus des amis.