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Face à l’info : Eric Zemmour détruit un mythe, Christine Kelly affaiblie sur CNews

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 12/11/2020 à 14:55 Mis à jour le 03/12/2020 à 14:13

En ce jour d’armistice, Face à l’info s’est concentré sur les deux conflits mondiaux avec deux éditos d’Eric Zemmour et une chronique de Marc Menant. CNews a perdu en puissance.

Passionné par l’histoire et les conflits mondiaux, Eric Zemmour s’est montré bien bavard dans l’édition de Face à l’info animée par Christine Kelly ce mercredi 11 novembre 2020. Marc Menant, Dimitri Pavlenko et Eric de Riedmatten ont participé aux échanges sur CNews.

De Gaulle frustré en 1918

Deux jours après avoir célébré le 50e anniversaire - et onze jours avant le 130e anniversaire de sa naissance - de la disparition du Général de Gaulle, Eric Zemmour a détaillé le rôle du futur Président de la République lors du premier conflit mondial. L’éditorialiste a indiqué que celui-ci avait été frustré par ses déboires entre 14-18 car il rêvait d’une revanche contre l’Allemagne après les précédentes défaites. Lors de son second édito, le polémiste a taillé en pièces le mythe du couple franco-allemand, indiquant que les Américains et les Allemands se sont toujours mutuellement admirés, les Américains mettant régulièrement des bâtons dans les roues de la France.

Eric de Riedmatten, d’origine Suisse, a indiqué que son grand-père avait participé à la Grande Guerre tout en refusant d’en parler, traumatisé par ce qu’il avait vu et vécu dans les tranchées. Il est ensuite revenu sur les lourdes pertes de la France en terme de croissance, qui représentent le double du déficit allemand. Il a aussi expliqué que les touristes étrangers dépensaient moins en France qu’en Grande-Bretagne.

CNews peine à retrouver le rythme

Alors que le talk a aligné les records du lundi 9 au jeudi 12 novembre, Face à l’info est moins performant depuis le début de cette semaine. L’édition du mercredi 11 novembre est passé sous le cap des 3% avec une moyenne de 663 000 Français, correspondant à une part d’audience à hauteur de 2.7%, dont 2.2% des CSP+.