Fort Boyard : pourquoi Gérard Vivès a refusé de devenir un personnage récurrent du jeu ?

Du sang frais et de l’expérience. Voilà comment résumer la prochaine équipe de Fort Boyard accueillie par Olivier Minne à partir de 21h05 ce samedi 22 août. Cinq candidats vont tenter de se surpasser pour les couleurs de l’association « Tombée du Nid », qui vient en aide à des familles touchées par la trisomie 21.

« Je ne vais jamais à Fort Boyard en toute confiance »

Julien Arnaud, Sandrine Quétier et Gus l’illusionniste inaugurent leur première participation en Charente-Maritime. Ils pourront compter sur Elsa Elsnout, star des Mystères de l’amour et qui avait connu son baptême du feu l’année dernière, mais surtout sur un habitué des lieux, Gérard Vivès. L’ancien acolyte de Vincent Lagaf’ sur le Juste Prix a déjà conquis l’antre à six reprises, dont cinq entre 2014 et 2019.

Révélé par son rôle de réceptionniste dans Les filles d’à côté, Gérard Vivès n’aura donc manqué Fort Boyard qu’en 2018 sur les sept dernières éditions du jeu d’aventure. Pour Télé Loisirs, l’ancien animateur a partagé sa joie mais aussi son appréhension de retrouver régulièrement cet univers atypique : « Je porte toujours le même regard sur l’émission. Quand j’y vais, je n’ai pas l’impression de faire de la télé [...] Quand on participe, on est tout le temps surpris. On est toujours dépassé par le fort. Je n’y vais jamais en toute confiance ».

Une saison déjà réussie

Par ailleurs, Gérard Vivès a expliqué pourquoi il avait refusé de tenir un rôle au sein du Fort : « Il avait été question que j’incarne un personnage, mais quelque chose me dérangeait. Je ne voulais pas être celui qui empêche un candidat de gagner alors qu’il joue pour une association. On m’a demandé d’être l’un des gardiens de la Cage, mais dans mon esprit, c’est très compliqué : comment je me comporte quand le mec vient se battre pour des gamins qui souffrent d’un cancer ? ».

Fort Boyard est en grande forme depuis le lancement de sa 31e saison. Le 15 août dernier, 3.23 millions de Français ont répondu présents, soit une part de marché s’élevant à 19.8%.