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Fort Boyard 2020 : pourquoi Hugo Clément a refusé de participer à certaines épreuves

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 01/08/2020 à 18:51

Ce samedi 1er août 2020 à 21h05, France 2 poursuivra Fort Boyard. Hugo Clément révèle pourquoi il ne participera qu’aux épreuves physiques.

Après avoir accompagné Yann Barthès dans Le petit journal et Quotidien, Hugo Clément a rejoint France 2 à la rentrée 2019. Le journaliste a pris la tête d’un magazine, Sur le front. Celui-ci, diffusé en première partie de soirée, a été renouvelé pour la saison 2020/2021.

Hugo Clément et Alexandra Rosenfeld à Fort Boyard, acte II

En attendant, Hugo Clément retrouvera les téléspectateurs de France 2 à travers Ford Boyard ce samedi 1er août. Dès 21h05, il défiera le jeu estival d’Olivier Minne en compagnie d’Ariane Massenet, Gérémy Crédeville et Florent Peyre. Il sera aussi accompagné d’Alexandra Rosenfeld, sa compagne qu’il a rencontrée lors d’une édition de Fort Boyard 2018. Le couple est devenu parent d’une petite Jim, aujourd’hui âgée de sept mois.

Une condition imposée à la production

Pour son retour à Fort Boyard, Hugo Clément a particulièrement redouté les épreuves physiques. « Même si j’aime les sensations fortes, j’appréhende davantage les épreuves physiques, celles où l’on doit affronter des personnages du fort par exemple », a-t-il confié à Télé Loisirs. L’ex-journaliste de Quotidien, fervent défenseur de la cause animale, a demandé une dérogation à la production du programme, diffusé chaque été par France 2 depuis 1990.

« Je n’ai pas envie de m’amuser avec des animaux captifs »

« D’un point de vue éthique, je refuse de participer aux épreuves qui impliquent des animaux, aussi bien les tigres que les insectes ou les reptiles. Je n’ai pas envie de m’amuser avec des animaux captifs », a expliqué Hugo Clément, tout en précisant avoir déjà fait cette demande à la production lors de son premier passage à Fort Boyard. « Je ne tente que les épreuves physiques, afin de défendre des associations qui oeuvrent pour la bonne cause », a-t-il ajouté, tout en se disant confiant du développement d’un « Fort Boyard sans animaux ».