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Gilles (Les Princes de l’amour 3) : « Avec les filles, Il fallait surtout savoir si elles venaient vraiment pour nous ou pour la télévision »

Antoine Delplanque
Publié le 03/12/2015 à 17:13 Mis à jour le 03/12/2015 à 17:14

Il fait partie des atypiques, la nouvelle catégorie des « Princes de l’amour 3 », programme diffusé chaque jour à 19h35 sur W9. Gilles, en neuvième année de médecine, est venu dans l’aventure afin de trouver une fille simple et gentille. Il s’est confié à Toutelatele sur son expérience à Ibiza.

Antoine Delplanque : Pourquoi avoir postulé à cette troisième saison des Princes de l’amour ?

Gilles : C’est une occasion qui se présentait. J’ai eu envie de tester tout simplement... Et puis, il faut être ouvert à tous.

Peut-on vraiment trouver l’amour à la télévision ?

Tout est possible, on peut aussi bien le trouver à la télévision que dans la rue.

Vous êtes-vous senti à l’aise dans cette catégorie des atypiques ?

Complètement oui, c’est du sur-mesure. C’est un juste milieu entre les séducteurs et les prétendants, ça me convenait parfaitement.

Quel est votre style de fille ?

Je ne m’arrête pas à un critère physique, j’ai d’ailleurs souvent fait l’éloge d’autres filles que mes prétendantes. Mais étant le seul blond de ma famille, je suis dit, pourquoi ne pas continuer sur cette voie-là (rires). Après, il faut aussi qu’il y ait une bonté et une gentillesse.

Comment s’est passée l’aventure avec les autres Princes ?

Le point fort de cette aventure, c’est la solidarité du début jusqu’a la fin, ça fait notre force. Je tiens à souligner l’entente entre les garçons. Pourtant, ce n’était pas gagné, car tout le monde est différent... Mais au final ça donne une belle bande de copains.

Et quand est-il avec les filles ?

Il y en avait pour tous les goûts. Il y avait des filles très sympathiques avec qui j’ai accroché et d’autres moins. Ce qui me refroidissait un petit peu, c’était leurs envies de se montrer alors qu’il suffit de rester naturel.

Cela ne flatte-t-il pas l’égo de voir des filles arriver rien que pour soi ?

Non, je me dis que c’est une chance qu’elles viennent pour moi. Il fallait surtout savoir si elles venaient vraiment pour nous ou pour la télévision. Mais, à aucun moment, je ne me suis senti comme le roi. Il n’y a qu’a voir à l’arrivée des prétendantes j’étais le seul garçon à garder une certaine retenue, c’est une forme de reconnaissance.

« La force des Princes ? c’est la solidarité du début jusqu’a la fin »

L’exubérance de Beverly ne vous a-t-elle pas dérangé ?

Pas du tout, au début, je ne savais pas qui elle était, puis en la regardant, j’étais sûr de l’avoir vu lors d’une émission sur TF1 (Carré VIP, ndlr). Je savais qu’elle ne venait pas pour moi, et de mon côté, il n’y avait pas d’attirance. Mais ce que je voulais, c’était qu’elle ne vienne pas pour allumer la mèche.

Donc personne ne pourra venir déranger votre Love Story avec Oxanna  ?

On verra, mais ce qui fait la force de cette émission, c’est que d’un côté il y a une relation qui s’installe et, de l’autre, on nous demande de tester cette relation. Cette une remise en question permanente et ce n’est pas facile.

Quel bilan tirez-vous de cette aventure ?

Cette émission m’a appris à me livrer un peu plus et c’est aussi une aventure
humaine, on apprend à connaitre les gens et ne pas se fier dès la première rencontre. Puis, on ne va pas refuser Ibiza (rires). Je ne tire vraiment que du positif de cette aventure.

Avez-vous d’autres projets à la télévision ?

Ma passion, c’est la comédie. J’aspire à devenir comédien. J’espère que mon expérience sera un tremplin et me permettra de gravir les échelons et de passer à la vitesse supérieure. Mais je dois d’abord finir ma neuvième année de médecine.