Jean-Luc Delarue apparaît à tort dans la rubrique Faits Divers

Dans son édition du mardi 29 septembre, Le Parisien a publié, dans ses pages Faits Divers, un avis de dernière minute « On a volé le manuscrit de Delarue ! ».

Selon le quotidien, les locaux professionnels de l’éditeur Léo Scheer ont été « visités dans la nuit de dimanche à lundi ». À l’exception de deux carnets de tickets restaurant, un seul objet a été dérobé : le manuscrit des « confessions » de l’animateur de télévision Jean-Luc Delarue. Toujours dans les colonnes du Parisien, l’éditeur précise que « le texte était écrit à la main et n’existait qu’en un seul exemplaire ».

Il n’en fallait pas plus pour le principal intéressé de réagir via un communiqué de presse envoyé par sa boite de production, Réservoir Prod. L’animateur conteste ainsi « formellement » l’information : « Aucun manuscrit de [Jean-Luc Delarue] n’a jamais été remis ni à M. Léo Scheer ni à aucun autre éditeur ».

En effet, celui que l’on surnommait « le gendre idéal » il y a encore quelques années prépare certes « un texte autobiographique », mais il s’agit en réalité « d’un travail personnel, solitaire et de longue haleine. »

Jean-Luc Delarue rappelle par la même occasion que « M. Scheer n’est pas son éditeur et qu’il n’a signé avec lui aucun contrat ni engagement. Des conversations ont eu lieu entre les deux hommes au début de cette année, et furent sans suite, « pour divergence de vue quant à la teneur du projet » »

Au communiqué de conclure : « Si tant est que M. Scheer ait porté plainte pour vol, nous sommes en droit de nous demander ce qui lui fut réellement dérobé puisqu’il n’a jamais été en possession d’un tel document. »