Kim (Retour à l’instinct primaire) : « Vincent, son sourire et son caractère positif m’ont tout de suite comblé »

Andy Andrian : Pourquoi avoir participé à cette deuxième saison de Retour à l’instinct primaire ?

Kim : J’aime beaucoup les défis liés à la survie et à l’autonomie en pleine nature. Très peu de personnes participent à une aventure comme Retour à l’instinct primaire. Pour ma part, j’ai accepté sans hésiter. C’était le moyen idéal de sortir de mon quotidien et j’ai eu raison, car ça m’a apporté plein de bonnes choses.

Quelle a été votre réaction au moment de découvrir l’univers auquel vous alliez être confronté ?

Je me suis tout de suite sentie vulnérable, car mes parties génitales n’étaient pas protégées. Aussi, le froid et la chaleur se faisaient beaucoup plus ressentir. Donc, ça a nécessité une double débauche d’énergie pour me protéger, car en société, nous ne sommes pas habitués à de telles conditions.

Aviez-vous des attentes particulières concernant votre binôme ?

Je ne voulais pas être avec quelqu’un au tempérament négatif et étant dans l’incapacité de s’émerveiller devant la beauté de la nature. Avec ce genre de personne, il faut toujours donner beaucoup d’énergie.

Quelle a été votre impression au moment de rencontrer Vincent ?

J’ai été assez contente, car c’est un homme costaud. Le physique est l’une de mes faiblesses, mais j’étais sereine, car sa carrure et ses aptitudes pouvaient compenser cela. Aussi, son sourire et son caractère positif m’ont tout de suite comblé.

« Je me suis tout de suite sentie vulnérable »

Pourquoi avoir choisi une casserole en objet de survie ?

L’avantage principal de la casserole est sa capacité à faire cuire. Notamment, c’est un contenant permettant de faire bouillir de l’eau. Sans cet outil, on ne peut pas survivre, car boire de l’eau est indispensable. C’est vraiment un avantage énorme pour la survie.

Quel a été le moment le plus compliqué à gérer au cours de votre aventure ?

Généralement, les nuits ont été très difficiles. Fréquemment, des animaux sauvages, comme des léopards ou des éléphants, passaient près de notre abri. Des insectes rentraient même à l’intérieur. Au final, on ne pouvait pas se reposer et le froid n’était pas vraiment un allié.

Comment avez-vous fait pour récupérer votre énergie ?

Dans la journée, le soleil était au zénith entre midi et 15 heures. À ce moment, on en profitait pour dormir à l’ombre. Dans le même temps, les animaux sont eux aussi statiques, étant donné la chaleur. En d’autres mots, on s’est adaptés à leur rythme.

Comment s’est déroulé votre retour à la « civilisation » ?

À l’image de notre aventure, les nuits ont été assez difficiles à gérer. Régulièrement, je me réveillais pour raviver le feu pourtant il n’y avait pas de feu ! Aussi, je restais tout le temps vigilante en guettant le moindre mouvement. Malgré cela, j’ai fait le nécessaire pour me remettre en forme, car une autre expédition m’attendait.

Dans quel sens l’aventure Retour à l’instinct primaire a changé votre vie ?

Désormais, j’ai moins d’appréhensions lorsque je me retrouve en pleine nature. Je me sens plus capable de me débrouiller dans un environnement qui m’est inconnu.

Quelles sont vos relations actuelles avec Vincent ?

C’est devenu un très bon ami. On aimerait bien faire une autre aventure ensemble dans le domaine de l’exploration et de l’extrême, mais ça reste encore à voir.

Quel est votre bilan quant à votre participation de Retour à l’instinct ?

Je suis très heureuse de ma participation. Bien sûr, il y a un peu de déception concernant certains passages non diffusés. Globalement, je me sens plus forte, plus libre grâce à mes nouveaux savoirs.