Laurence Ferrari : « Une fois de plus, on sanctionne arbitrairement les femmes »

Son congé maternité écoulé, Laurence Ferrari, maman d’un petit Elliott, s’apprête à reprendre sa place sur le fauteuil du Journal Télévisé de TF1, et ce, dès le 3 janvier. En attendant son retour, la journaliste a ouvert sa porte au magazine Télé 7 jours, le temps d’une interview. Florilège.

« Ravie de retrouver ses téléspectateurs », Laurence Ferrari dément toute rumeur quant à son hypothétique éviction. « J’ai la pleine confiance de mes patrons. Et Harry Roslemack, mon joker, est quelqu’un de fiable. Nous formons un bon binôme » affirme-t-elle avant d’ajouter : « Je me réjouis quand Harry réalise de belles performances. Et c’est réciproque. »

Concernant les changements du JT, la journaliste explique qu’une évolution « du décor et de la mise en images » est à prévoir, ainsi qu’un réaménagement du « corps même du journal, la hiérarchie de l’information, l’articulation entre les différents sujets ».

Enfin, questionnée sur la suspension d’Audrey Pulvar par I>télé, suite à l’annonce de la candidature son compagnon Arnaud Montebourg aux primaires socialistes, Laurence Ferrari n’y va pas par quatre chemins. « C’est navrant. Audrey a beaucoup de talent. Son objectivité et sa crédibilité n’ont pas disparu comme ça du jour au lendemain » s’indigne-t-elle. Et de continuer par le constat suivant : « Une fois de plus, on sanctionne arbitrairement les femmes ».