Les inédits de Capital > Luxe : ils font toujours rêver

Avec la crise, on aurait pu croire que le bling bling allait disparaître. Pourtant, le monde peut toujours compter sur 8 millions de millionnaires (en dollars). Et bien que ce nombre soit à la baisse, le luxe garde son pouvoir d’attraction. Champagne, bolide ou hôtel de luxe, les équipes de Capital partent à la rencontre de cette clientèle très haut de gamme « qui dépense sans compter »...

Elles coûtent 300 euros, 600 euros, parfois plus encore. Dans ces bouteilles-là, ce n’est pas tant le champagne qu’on achète, mais la notoriété de la bouteille. Celle-ci est devenue incontournable depuis son passage dans un clip d’un rappeur américain, cette autre est plébiscitée parce qu’on y a ajouté quelques paillettes d’or. Destinées à ceux qui ont de l’argent à ne savoir qu’en faire, ces marques de champagne affûtent leur stratégie pour ne jamais paraître « banales ».

Une chambre à 2 000 euros la nuit avec piscine privée, majordome et vue sur une plage de sable fin balayée tous les matins, c’est le lot quotidien de ceux qui choisissent de passer leurs vacances dans un des hôtels cinq étoiles des Seychelles. En 40 ans, cet archipel s’est forgé une réputation de villégiature haut de gamme, au point de tirer l’essentiel de ses ressources du tourisme de luxe.

C’est le mythe absolu, la plus prestigieuse des marques de voitures sportives. Chez elle, on ne fait rien comme les autres : pas de stock, jamais de pub, des clients qui doivent patienter parfois plusieurs années sur liste d’attente. Mais cette tactique est toujours même en ces temps de crise. La preuve : l’enseigne Ferrari peut compter sur un millier de ventes par an.

En fin d’émission, Capital propose la rediffusion d’un sujet sur Rolex, proposé la première fois presque un an jour pour jour, soit le 3 août 2008. L’occasion de revenir sur la saga du roi de l’horlogerie...