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Nouvelle Star 8 > Castings de Bruxelles et Paris

Emilie Lopez
Publié le 16/03/2010 à 20:45 Mis à jour le 14/04/2010 à 23:22

Virginie Guilhaume sur M6

Changement de décor, direction Bruxelles pour le quatuor de la Nouvelle Star. Et pour bien débuter ces auditions, les jurés ne font pas dans la demi-mesure, avec une ribambelle de non. Seule à tirer son épingle du jeu, Soraya parviendra à glaner trois oui, malgré le refus catégorique de Philippe Manœuvre : « Vous êtes totalement maboules ! C’est un numéro de cabaret ! » lancera-t-il à ses acolytes.

Une désolidarisation que connaîtra par la suite Lio, face à Abril. Espagnol, ce dernier ne parle que quelques mots de français, et ses tentatives sur « La vie en rose » ne feront que confirmer les craintes de la « chanteuse ». Cette dernière ne comprend pas pourquoi ses hommes le qualifient pour le théâtre, alors qu’il se « cassera le nez », ne maitrisant pas la langue de Molière. Qu’importe, il remporte son précieux sésame, tout comme Siegfried et sa guitalele (mix entre une guitare et un ukulélé) ou encore Alexandra.

Après le passage d’un métalleux chantant en hommage à son père, mort en jouant de la batterie (!), place à Isabelle, qui annonce d’emblée : « J’ai des couilles quand je chante » ! Justement, lorsqu’elle explique avoir choisi Ne me quitte pas, Philippe Manœuvre lui lance « C’est couillu ». Et si Dédé est sceptique, avouant avoir eu « l’impression d’assister à un match de catch féminin », elle réussira à passer les barrages de l’audition.

Le quatuor prend alors la direction de Paris, pour une première surprise, grâce à Terry. Avec son look improbable et sa reprise de Je t’aime de Lara Fabian, ce dernier fait sourire les jurés...jusqu’à ce qu’il commence à chanter. « Vous m’avez touchée ! Vous m’avez fait entendre la chanson sans avoir envie de m’étrangler » s’enthousiasme Lio. Il sera donc présent au théâtre.

Après l’ « audition super ratée » selon Marco Prince de Marie Goodmorning, à côté de qui « Chantal Goya est country », selon Dédé, place à Simon, et son ukulélé. Si sa reprise de France Gall laisse les pros perplexes, il lui suffira d’user de son brin de voix cassé et de son instrument « faux comme un jambon » sur « Creep » de Radiohead pour se voir qualifié.

Enfin, deux derniers candidats marquent les esprits. D’abord Milou, grâce à « Mercredes Benz » de Janis Joplin, qui se voit toutefois menacée de devoir « chanter une chanson d’Annie Cordy à Baltard » par André Manoukian ». Puis Ramon, un séduisant espagnol, à qui le quatuor demande de jouer une seconde chanson...juste pour le plaisir de l’entendre à nouveau.