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Sans Aucun Doute > 02/11/2007

Alexandre Raveleau
Publié le 02/11/2007 à 23:20 Mis à jour le 23/05/2011 à 13:55

Julien Courbet sur TF1

Le premier Sans Aucun Doute de novembre a débuté avec l’histoire folle de Mohamed. De l’artisan taxi au chauffeur particulier, le jeune père de famille a vécu quelques mois entre richesse et aveuglement. Lorsqu’il a rencontré cette « belle et richissime » cliente en décembre 2004, Mohamed a d’abord été payé des sommes folles, allant de 300 à 400 euros, pour seulement quelques heures de travail en après-midi. L’appât du gain a ensuite été trop fort... Tous les jours, du matin au soir, de sorties de boîte de nuit en voyages à Genève, Mohamed a vu le rythme changer, jusqu’à ne jamais être payé, voire même avancer 10 000 euros à Madame X ! Après 18 mois, sans contrat de travail, devenu homme à tout faire, Mohamed était ruiné. « J’étais devenu son esclave ! ». Avant les coups de fil, les équipes de Julien Courbet ont retrouvé la mère de Madame X, permettant de faire avancer le dossier. Cette jeune femme n’aurait en fait jamais été riche, ni même propriétaire, voire plutôt endettée et déjà condamnée...

Dans un second temps, c’est Thomas, jeune homme de 22 ans, qui est arrivé sur le plateau de l’émission. En 1989, sa mère décédait alors qu’il n’avait que 4 ans, lui laissant un capital de 250 000 euros. A sa majorité, Thomas a découvert l’inimaginable : son père aurait détourné quelques 90 000 euros. Quant à sa grand-mère, elle aurait utilisé 55 000 euros de cet héritage littéralement dilapidé. Les équipes de Sans Aucun Doute ont mené l’enquête. Entre duperie et affaire de famille, le jeune homme a été de surprises en déceptions.

Julien Courbet a ouvert en fin d’émission le dossier de Jacqueline et Herbert. Le couple s’est installé il y a déjà de longues années dans le sud de la France, avec de nombreux projets en tête. Après toutes ces années, leurs conditions de vie sont restées inacceptables : sans électricité et sans eau. A qui la faute ? C’est la question que les experts de l’émission ont posée aux protagonistes de ce drame, entre querelles de clochers et lenteurs administratives.