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Sans Aucun Doute > 22/02/2008

Alexandre Raveleau
Publié le 22/02/2008 à 23:15 Mis à jour le 03/06/2011 à 00:22

Julien Courbet sur TF1

Absurdités en tout genre, affaires surréalistes, voire « abracadabrantesques » : Julien Courbet et ses équipes proposaient ce vendredi un numéro spécial « Aberration » à leurs fidèles.

Le cas d’Angélique a ouvert les débats de la soirée. La jeune fille devait ainsi rembourser un crédit de 5 000 euros, contracté en 1996. Agée de 23 ans lors de son passage sur TF1, Angélique aurait donc signé ce contrat à l’âge de 12 ans ! Après enquête, il s’est avéré que cet emprunt avait été contracté par sa mère. Elle a ainsi usurpé l’identité de sa propre fille il y a plusieurs années. Depuis, la société de recouvrement a décidé d’amener Angélique devant les tribunaux pour qu’elle règle sa dette. Avec l’aide de Julien Courbet, les avocats ont décidé de trouver un accord à l’amiable. Après quelques échanges plutôt houleux, les dirigeants ont finalement admis que leurs services ont pu commettre une simple erreur... sur l’âge du contractant !

Puis avec Chantal, les journalistes de l’émission ont enquêté dans le monde du don du sang. Employée depuis 10 ans par une association dite caritative, la femme a choisi de s’adresser à Sans aucun doute pour faire la lumière sur les activités douteuses de ses dirigeants. Car si l’objet social de cette association était bien de récolter des fonds en vue de l’aide aux malades, des quotas de 6 000 euros de chiffre d’affaires par mois, en dons, étaient purement et simplement imposés à la salariée. Tout ceci sans qu’aucune campagne de sensibilisation n’ait jamais été organisée. Et tout cela sans aucune comptabilité bien entendu. Au total, près de 1,2 millions d’euros auraient fait l’objet de détournements...

La palme de l’aberration est revenue à Enzo. Le petit garçon, âgée de 8 ans, est condamné à payer une amende de 400 euros au Trésor Public pour non-port de la ceinture de sécurité ! Les parents de l’enfant ont décidé de prendre l’affaire très au sérieux et obtenir gain de cause. C’est aussi l’affaire la plus rapide de l’histoire de l’émission : 7 minutes top chrono !