Sans Aucun Doute > 25/01/2008

Après des années de galères, Audrey (25 ans) était heureuse d’avoir trouvé un emploi stable, lui permettant d’offrir à son fils de 6 ans une nouvelle vie décente. Mais du jour au lendemain, chez ce primeur, tout a basculé. Audrey aurait effectivement été victime de gestes et paroles très déplacées de la part de son patron, allant jusqu’à l’intimidation par la nudité. Si sa propre mère pensait au départ à la plaisanterie, l’affaire a très vie pris de l’ampleur, devenant le quotidien inimaginable d’Audrey. Choquée, au bord de la dépression nerveuse, la jeune femme est venue obtenir gain de cause auprès des spécialistes de l’émission. Au terme d’une négociation à couteaux tirés, Bernard Sabbah (médiateur) a pu obtenir un accord entre les deux parties.

Dans un tout autre registre, le quotidien de Noémie et Jérémy a lui aussi viré à l’absurde depuis qu’un liquidateur judiciaire leur a proposé un ultimatum impossible : payer une seconde fois leur propre maison ou lui restituer leur bien le plus cher. Avec Julien Courbet, le couple a pu trouver une solution pour apaiser les tensions et, surtout, ne pas avoir à payer et perdre plus de 143 000 euros. Toujours en matière de logement, Dorothée et Jean-Yves ont quant à eux été priés, à grands renforts de menaces au bulldozer, de quitter leur maison. Le commanditaire de ces actes ? Leur propriétaire ! Depuis vingt ans, le couple vivait pourtant normalement dans cette résidence du sud de la France. L’enquête a pourtant mené les journalistes dans les méandres d’imbroglios financiers, loin du calme qu’ont toujours privilégiés les deux victimes.

Plus tard dans l’émission, Julien Courbet a ouvert deux dossiers sur le thème de la famille. Après le combat de la jeune Jessica, contre son beau-père, pour obtenir un droit de visite pour sa jeune sœur, Jean-Bernard et Ghislaine ont tenté de comprendre l’incompréhensible : comment leur proche a-t-il pu détourner 80 000 euros du compte de leur mère malade ? En toute impunité.