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Un instinct pas si basic à New York Unité spéciale

Adeline Stachowiak
Publié le 26/10/2010 à 18:08

New-York Unité spéciale se paie le luxe d’une bombe, « une bombe au sens propre », lâchera même Christopher Meloni, à savoir Sharon Stone. La tueuse au pic à glace porte cette fois une culotte : celle de Joe Merlowe, procureure mystérieuse au sein de l’unité. Une aubaine pour la comédienne littéralement « obsédée par New York Unité spéciale ! ». Télé Câble Sat a obtenu quelques mots de la belle : « J’enregistre tous les épisodes pour être certaine de ne pas rater un seul inédit et je connais tous les personnages ».

Dick Wolf, grand manitou de la série depuis les premiers épisodes, en 1999, a donc créé pour l’intéressée, un rôle sur mesure. L’actrice a pourtant hésité : « Je voulais être certaine d’apporter un plus à la série  ». Elle accepte finalement : « Les scénaristes voulaient donner un prénom qui ne soit ni féminin, ni masculin à mon personnage. Et ils m’ont proposé Jo. Sans savoir que c’était le nom de mon père. J’y ai vu un signe et j’ai dit oui tout de suite ». Une évidence quelques jours après la mort de son géniteur...

Habituée du grand écran, elle sera bientôt à l’affiche du second volet de Largo Winch, l’actrice s’est laissée surprendre par le tournage : « J’avais l’impression d’être dans un ouragan au milieu de la Thaïlande ». Puis, celle-ci ajoute : « Les premiers jours, j’ai eu du mal à suivre. Je croyais que certains parlaient une langue étrangère  ». Pour pallier ses lacunes, Sharon a fait preuve d’un investissement personnel : « Je passais mon temps libre à faire des recherches pour comprendre la signification de mes dialogues et du jargon des flics ».