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Les feux de l’amour : Quelle mort pour Nikki ? des adieux que Melody Thomas Scott n’ose pas imaginer

Andy Andrian
Publié le 02/09/2019 à 10:33

Le 16 août dernier, TF1 a fêté le trentième anniversaire de diffusion des Feux de l’amour . En effet, le soap américain a fait son apparition sur la grille de la première chaîne en 1989 et ce, après le journal de 13 heures. Depuis janvier 2017, la série est diffusée à partir de 11 heures. A l’occasion de cet anniversaire spécial, Lauralee Bell (Cricket) et Melody Thomas Scott (Nikki) se sont exprimées sur le destin de leurs personnages respectifs lors d’un entretien accordé à Télé Star.

Une fin « heureuse » pour Cricket ?

Christine Blair, alias Cricket, fait partie des personnages phares des Feux de l’amour. Les téléspectateurs de TF1 ont, notamment, une affection particulière envers son couple iconique avec Danny Romalotti (incarné par Michael Damian). Egalement, la fille de Jim Graiger a dû faire face à plusieurs harceleurs comme Derek Stuart ou Michael Baldwin.

Désormais, Cricket se fait un peu moins présente dans la série. Cependant, elle n’a pas fait ses adieux à Genoa City et revient de manière récurrente aux côtés des différents protagonistes. Dans le cas où elle venait à partir définitivement, Lauralee Bell aimerait offrir une fin « heureuse » à ce personnage phare…

Melody Thomas Scott déterminée à rester dans Les feux de l’amour

De son côté, Nikki est également une figure essentielle du show. À travers les années, Melody Thomas Scott a surtout été marquée par la période où la femme de Victor (Eric Braeden) s’adonnait à l’activité de strip-teaseuse. Malgré cela, elle a su rebondir en formant un couple très solide avec Victor.

Même si Nikki a déjà été en proie à de nombreuses difficultés, Melody Thomas Scott espère ne pas voir les scénaristes « tuer » son personnage. Aussi, la comédienne souhaiterait s’assurer de voir Nikki « prête et heureuse » en cas d’éventuels adieux. En tout cas, l’intéressée n’entend pas quitter Les feux de l’amour de sitôt. Pourtant, cette dernière a déjà « envisagé » de le faire par le passé lors des traditionnelles « renégociations de contrat ».