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Audrey Fleurot (Engrenages, saison 7) : « Pourquoi je ne compte pas abandonner Joséphine »

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 25/02/2019 à 17:36 Mis à jour le 25/02/2019 à 18:36

Les abonnés à Canal+ ont rendez-vous à 21 heures ce lundi 25 février pour deux inédits d’Engrenages à partir de 21 heures avec les septième et huitième d’une septième salve comportant douze opus.

La soirée démarre avec une mauvaise nouvelle pour le 2e DPJ de Paris. En effet, l’enquête sur la mort d’Herville leur est retirée au profit de la brigade financière. Une décision émanant du juge Roban. Edelman et Joséphine, quant à eux, défendent David Cann, un gestionnaire de fortunes. Dans un second temps, Laure et Gilou ont le commissaire Lebrion dans le collimateur, l’accusant de cacher des informations capitales sur le réseau de blanchiment d’argent. Quant au juge Roban, il fait des confidences à Brémont sur ses méthodes peu orthodoxales avant de se laisser piéger par Joséphine et Edelman.

Audrey Fleurot, incarnant l’avocate Joséphine Karlsson depuis les débuts de l’aventure, a accordé une interview à Télé 7 jours. Invitée à associer un symbole à son personnage, la comédienne vue dans Kaamelot et Un village français a évoqué « un phénix », rappelant les événements en ouverture de cette septième salve, soit son incarcération et les accusations de tentative de meurtre. Pour se préparer à tourner ces scènes au pénitencier, l’actrice a donné de sa personne : « J’ai tourné au centre pénitentiaire de Réau, en Seint-et-Marne. Pendant les pauses cigarette, il m’arrivait de discuter avec des détenues, condamnées à des peines importantes. L’impression est très spéciale ».

Concernant le futur de son personnage, l’actrice, affirmant qu’elle n’était pas lassée de son cynisme, s’est dite « flattée » par un appel de la nouvelle directrice d’écriture, Marine Francou, afin de la consulter pour les angles suivants : « D’habitude, j’arrive et je joue ce qui est indiqué. C’est plaisant d’être consultée en amont ». Elle n’envisage pas de lâcher son personnage de sitôt : « Je n’ai pas l’impression d’être allée au bout de ses possibilités ».