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Théo Curin : qui est le nouveau chroniqueur du Magazine de la santé aux côtés de Marina Carrère d’Encausse ?

Andy Andrian
Publié le 24/09/2019 à 07:37

Tous les jours sur France 5 à 13h40, les téléspectateurs ont rendez-vous avec Le magazine de la santé . Pendant près d’une heure, Marina Carrère d’Encausse et Régis Boxelé abordent plusieurs sujets liés au monde de la médecine, le tout avec une certaine décontraction. Pour cette saison 2019 / 2020, l’émission accueille un nouveau chroniqueur en la personne de Théo Curin et ce, à partir de ce mardi 24 septembre 2019.

Médaillé de bronze aux championnats du monde

Originaire de la ville de Vichy, Théo Curin intègre l’équipe du Magazine de la santé afin d’y présenter une chronique abordant le thème du sport et de la maladie. Ainsi, il s’applique à montrer les vertus de l’activité physique dans le dépassement de soi.

Théo Curin a été amputé de ses quatre membres après à une méningite. À la suite de cela, il est devenu un nageur handisport et fait partie de l’équipe de France. À seulement seize ans, il a participé aux Jeux olympiques de Londres. En 2019, l’athlète décroche une médaille de bronze au 200 mètres nage libre des championnats du monde. Parallèlement à sa carrière dans les bassins, il est présent de manière récurrente dans la shortcom de France 2, Vestiaires .

De présentateur ponctuel à chroniqueur

Dans un entretien pour Télé Star, il est revenu sur les événements lui ayant permis d’intégrer l’équipe du Magazine de la santé. Tout a commencé le 16 mai 2019, jour où l’intéressé a été contacté par la production afin de « co-animer avec Marina Carrère d’Encausse ». Cela a eu lieu dans le cadre du Duo Day (des binômes handi-valides se forment le temps d’une journée dans une entreprise).

Par la suite, le rédacteur en chef lui « a proposé » de rejoindre définitivement l’émission. « J’ai sauté de joie et j’ai réfléchi à une chronique » révèle Théo Curin. De manière mensuelle, il présente une rubrique centrée sur les histoires « de personnes inspirantes aux parcours atypiques ». Ces dernières ont « utilisé le sport comme outil de résilience face aux épreuves ».