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Rachida Dati recadre Sonia Mabrouk sur CNews « Est-ce que j’ai dit ça ? »

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Rédacteur - Expert TV & Divertissement
Publié le 17/06/2025 à 10:23

Rachida Dati était l’invitée de Sonia Mabrouk sur CNews ce mardi 17 juin 2025. Dans cette interview, la femme politique n’a pas hésité à recadrer la journaliste en plein direct.

Sonia Mabrouk a accueilli un nouvel invité pour La grande interview sur CNews ce mardi 17 juin 2025. La journaliste a reçu Rachida Dati, la Ministre de la Culture. La femme politique a notamment répondu aux questions au sujet des frappes israéliennes en Iran.

Lors de cette interview, Rachida Dati s’est montré cash sur la situation. Elle n’a alors pas hésité à montrer sa proximité avec Sonia Mabrouk.

Rachida Dati recadre Sonia Mabrouk sur CNews

« La situation est tragique. Ce qui se passe dans cette région, et vous et moi, madame Mabrouk, on se connait depuis assez longtemps pour savoir que ce qui se passe dans cette région, on s’y intéresse depuis toujours. Nous étions adolescentes et les conflits qui se passent dans cette région du monde, notamment au Moyen-Orient, ça a toujours percuté nos vies », a déclaré Rachida Dati, qui a déjà été tournée en ridicule par la journaliste.

Plus tard dans cette interview, la ministre n’a pas hésité à recadrer la journaliste. « Tout l’enjeu c’est aussi de poursuivre la réindustrialisation de la France qui a commencé depuis 2017 », déclare tout d’abord la ministre. « Les chiffres sont quand même contrastés (...) Tout va bien, madame la Marquise », répond ensuite Sonia Mabrouk. « Est-ce que j’ai dit ça ? Je dis simplement qu’il faut poursuivre la réindustrialisation de la France », tacle Rachida Dati.

Rachida Dati répond aux attaques

Rachida Dati réagit ensuite aux propos d’Emmanuel Grégoire sur le service public qui attaque Rachida Dati. « Comme certains députés de gauche, s’agissant de ma personne, ils se permettent tout, l’injure, les attaques en dessous de la ceinture », regrette la femme politique.

Avant d’ajouter : « Mais il y a une chose qui est sûre, c’est qu’aujourd’hui, il y a une désaffection des jeunes et des classes populaires vis-à-vis de l’audiovisuel public. C’est quand même près de 4 milliards d’euros d’argent public ».

La grande interview est à retrouver du lundi au vendredi à 8h15 sur CNews.