Sophie Davant (Affaire conclue) : « Il y a toujours des râleurs qui estiment que je coupe trop la parole... »

Sophie Davant a lancé la troisième année inédite d’Affaire conclue ce lundi 7 janvier 2019 sur France 2. Les deux numéros ont retenu l’attention de 1.15 et 1.75 million de téléspectateurs, représentant 16.3 et 18.6% de part de marché, lançant sur les chapeaux de roue cette nouvelle période. Tout le contraire des Reines des enchères (M6), victimes d’un démarrage poussif (6.8%) autour de Cristina Cordula.

L’animatrice a accordé une interview à Télé Loisirs pour revenir sur le succès de l’émission d’enchères en 2018. Elle a confié ses doutes lors de la présentation du projet d’Affaire conclue : « J’avoue que je suis restée sceptique quand mon producteur m’a montrée la version allemande, beaucoup plus sérieuse, avec un présentateur à moustache portant une chemise à carreaux. Nous avons fait un programme plus délirant, grâce en outre à un casting particulièrement réussi ». Face à quelques détracteurs, Sophie Davant s’est montrée offensive : « Il y a toujours des râleurs, qui estiment que je coupe trop la parole, mais c’est mon job de mettre de la malice et de donner du relief. Ceux qui prennent ça pour de la méchanceté manquent peut-être d’humour... ».

Draguée par certains vendeurs, elle a tenu à minimiser la pratique : « Certains utilisent le registre de la séduction, mais cela reste un jeu et ne dépasse jamais le cadre du plateau ». Passionnée par la mer, l’animatrice a indiqué avoir acheté quelques objets de l’émission et révélé la possible arrivée de Laurent Baffie parmi les acheteurs : « Il est venu dernièrement pour vendre une oeuvre d’art au profit du Téléthon. La production réfléchit à l’intégrer à l’équipe ». Tandis qu’elle aurait bien pris la suite de Frédéric Lopez dans Rendez-vous en terre inconnue, elle a concédé avoir mal vécu l’arrêt de Toute une histoire : « La fin de cette émission a été très difficile à vivre. On parlait tout le temps de ses audiences en berne, alors qu’elles étaient plus hautes que ce que l’on fait aujourd’hui à la même heure ! ».