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Touche pas à mon poste : cette décision qui a scandalisé Géraldine Maillet sur C8

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Rédacteur - Expert TV & Cinéma
Publié le 09/10/2023 à 17:48

Dans un numéro de Touche pas à mon poste récemment diffusé sur C8, Géraldine Maillet a laissé éclater sa frustration après une décision de justice, tandis que Cyril Hanouna a rendu hommage à un de ses confrères.

Dans un numéro de Touche pas à mon poste récemment diffusé sur C8, Cyril Hanouna a rendu hommage à Jean-Pierre Elkabbach, en expliquant qu’il le connaissait bien et en louant ses qualités. Gilles Verdez a estimé que c’était le meilleur journaliste de son époque.

Récemment interrompu par Delphine Wespiser, Cyril Hanouna a ensuite diffusé un extrait d’une interview de lui par Jean-Pierre Elkhabbach sur CNews en 2019, au moment de la crise des Gilets jaunes. Le journaliste avait alors commencé leur entretien avec une phrase-choc : « Cyril Hanouna, de quoi je me mêle ? ».

L’hommage de Cyril Hanouna sur C8

La production a ensuite diffusé une compilation des questions-chocs du journaliste, en terminant avec la fois où il a commencé un entretien avec Marine Le Pen en lançant : « Vous n’avez pas honte  ? ». Cyril Hanouna est également revenu sur l’interview de Vladimir Poutine par Jean-Pierre Elkhabbach en 2014.

La veille, Cyril Hanouna avait voulu entendre ses chroniqueurs sur l’insécurité dénoncée par plusieurs chauffeurs de bus. En entendant que l’agresseur de l’un d’entre eux avait été condamné à 18 mois de prison, Géraldine Maillet a été scandalisée : « C’est insupportable, on ne veut plus entendre ça ! ».

Géraldine Maillet excédée dans Touche pas à mon poste

Elle a estimé que la justice française était beaucoup trop laxiste, que le problème ne venait pas des policiers mais bien des juges. Un chauffeur de bus est ensuite venu témoigner de l’agression qu’il avait subie quelques années auparavant, avant que les images d’autres incidents ne soient diffusées.

Les chroniqueurs se sont ensuite prononcés sur le cas d’un homme de 87 ans, arrêté pour avoir tué sa femme atteinte d’un cancer en l’étranglant. Gilles Verdez a estimé qu’il ne devait pas être condamné, tandis que Jean-Michel Maire a expliqué que la manière dont le meurtre a été commis justifiait une condamnation.