Alexandre Brasseur (Demain nous appartient) : « Alex va connaître des rechutes... »
Alex a franchi la ligne rouge avec Flore dans Demain nous appartient. Alexandre Brasseur se confie sur l’évolution de l’intrigue avec Chloé.
Depuis 2017, Alexandre Brasseur est à l’affiche de Demain nous appartient . Le fils de Claude Brasseur incarne le duo principal du feuilleton de TF1 avec Ingrid Chauvin. Son personnage, Alex, traverse actuellement une période difficile.
De Chloé à Flore...
Après avoir été secoué par la mort de Jacques, son père, Alex a sombré dans l’alcool. Le héros de « DNA » a vu le clan Delcourt plonger dans le chaos. Chloé, qui venait de donner naissance à leur fille Céleste, a assisté impuissante à son éloignement. Alex a trouvé refuge aux côtés de Flore, la meilleure amie de Chloé, jouée par Anne Caillon. Et les deux protagonistes ont fini par coucher ensemble.
« Avec Ingrid Chauvin, nous avions envie de conflits... »
Dans un entretien accordé à Télé Loisirs, Alexandre Brasseur a révélé être à l’origine de cette intrigue choc pour les fidèles de Demain nous appartient. « Depuis quelque temps, les Delcourt-Bertrand baignaient dans le monde des béni oui-oui. Avec Ingrid Chauvin, nous avions envie de conflits, de jouer des choses avec plus d’aspérités. L’arrivée de Céleste a bouleversé Alex, et les répercussions seront considérables pour toute la famille », a-t-il confié, tout en précisant qu’il avait demandé au producteur de pouvoir défendre une arche où un personnage sombrait dans l’alcool.
« J’ai été confronté à l’alcool de nombreuses fois »
« C’est un problème auquel j’ai été confronté de nombreuses fois. L’alcool est pernicieux, c’est facile de glisser. On va traiter ce sujet sur le long terme. Alex va connaître des hauts, des bas, des rémissions et des rechutes », a ajouté Alexandre Brasseur. Interrogé sur le rapprochement d’Alex et Flore, le comédien a assuré que son personnage allait rapidement se raviser. « Un soir, les choses vont déraper entre eux. Mais Alex prend vite conscience que cette histoire n’est pas viable... », a-t-il conclu.