Combien ça coûte, l’hebdo > 17/01/2010
Jean-Pierre Pernaut et Justine Fraioli sur TF1
Combien ça coûte, l’hebdo permet à ses fidèles d’en savoir un peu plus sur Justine Fraioli. En effet, chaque semaine, la coanimatrice dévoile des éléments de sa vie privée. Ce dimanche, les téléspectateurs apprennent donc que la demoiselle sait « planter un clou ». L’occasion d’aborder la mode bricolage auprès de la gent féminine, introduit, non sans ironie, par l’intéressée : « A quand des balais conçus spécialement pour vous les hommes ? »
La moitié des clients des magasins de bricolage sont... des clientes. Carrelage, électricité ou encore papier peint, les femmes veulent savoir tout faire et toute seule. Une émancipation qui vaut aux enseignes du genre de vendre des tournevis roses et, plus globalement, de l’outillage spécialement conçu pour les dames avec pour maîtres mots : simplicité / couleurs et ergonomie. Il existe même des cours spécialement pour les dames. Dans une ambiance salon de thé, ces dernières apprennent ainsi à se servir d’une perceuse ou encore à poser du carrelage ou plus simplement à poser une tringle à rideaux. Les femmes sont donc l’avenir du bricolage et Castorama l’a bien compris. Sa campagne publicitaire spécialement dédiée a considérablement boosté les ventes.
Sans transition, direction au pays du soleil levant pour s’attarder sur un véritable empire, à savoir le thé. Si la boisson sacrée est à l’honneur du magazine dominical de TF1, c’est pour mettre à l’honneur l’empereur du thé, un Français d’origine lyonnaise : Stéphane Danton. Avant lui, personne n’a eu l’idée de proposer des saveurs à la boisson consommée, en moyenne, pas moins de 5 fois par jour ! Cet ancien sommelier a réussi à toucher une nouvelle clientèle bien plus jeune et est ainsi devenu le roi de l’or vert. Son best-seller ? Le thé à la patate douce !
Pour terminer ce numéro de Combien ça coûte, l’hebdo, le magazine propose de revenir sur la hausse du prix des cigarettes et ses conséquences. En novembre dernier, après une hausse de 8%, il était impossible de trouver un paquet à moins de 5 €. Pour les consommateurs, les combines se multiplient entre achats sur le net et petit tour derrière la frontière. Mais ce dernier cas de figure est une catastrophe pour les buralistes. Si de plus en plus de navettes sont organisées dans le sud de la France pour acheter à moins de 20 euros des cartouches, en France 20% des buralistes auraient mis la clé sous la porte...