Good Doctor (saison 2) : le drame qui lie à tout jamais Richard Schiff (Glassman) et Shaun Murphy

Pas de transition. Sept jours après le final de Good Doctor, TF1 dégaine ce mardi 6 novembre la deuxième saison de sa série médicale avec un inédit intitulé « Adieux et retrouvailles » à partir de 21 heures. Débarrassée de Capitaine Marleau, la Une devrait retrouvait le leadership abandonné depuis le 16 octobre les mardis.

Shaun Murphy n’est pas enclin à accepter la maladie de son mentor Aaron Glassman. Ce dernier quitte ses fonctions au sein de l’hôpital et se concentre sur son combat contre la tumeur. Il est soigné par son oncologue, le docteur Blaize, signant les débuts de Lisa Edelstein (ex-Docteur House). Shaun Murphy et Jared, de leur côté, proposent un traitement pour sauver un sans-abri mais Andrews les sermonne. Ce dernier émet toujours des doutes sur Shaun malgré les miracles accomplis par l’interne.

Cet épisode, réalisé par Freddie Highmore, interprète du personnage principal, est l’avant-dernier proposé cette année par TF1. Le personnage d’Aaron Glassman, incarné par Richard Schiff, est toujours au cœur de cette aventure. Le comédien a accordé une interview au Télé 7 Jours. Il a commencé par expliquer en quoi son quotidien était lié à celui du jeune Shaun Murphy qu’il chérit à l’écran : « Mon fils Gus a 23 ans. Il est autiste. C’est l’une des raisons qui m’ont donné envie de signer pour Good Doctor. Il est mon héros et m’inspire à tout moment de vie ».

Il en a également profité pour critiquer la société américaine sur le plan sanitaire : « Ce rôle était un moyen d’évoquer le système de santé américain, si injuste financièrement. Mais j’ai également beaucoup appris sur ma relation avec mon propre fils, au moment de tourner certains scènes avec Freddie ». Membre du Parti démocrate, le camp opposé de celui représenté par Donald Trump, il a néanmoins tenu à minimaliser l’impact politique de Good Doctor : « La série est diffusée en Amérique sur ABC, une grande chaîne commerciale, et sa fonction est d’abord de faire du bien aux téléspectateurs ».