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Hillary (Moundir et les apprentis aventuriers 3) : « Avec Sébastien, cela reste chaotique »

Corentin Bresson
Publié le 26/06/2018 à 18:51

Ce mardi 26 juin, W9 diffusera un nouvel épisode de Moundir et les apprentis aventuriers 3 à 19h50. Hillary, candidate emblématique de télé-réalité, se confie sur son aventure et sa relation avec Sébastien. Elle évoque également son avenir à la télé et ses futurs projets.

Corentin Bresson : Pourquoi avoir participé à l’émission Moundir et les apprentis aventuriers 3 ?

Hillary : Je l’avais déjà fait une fois, c’était une aventure humaine incroyable, même si c’était très dur. Lors de la première saison, je me suis mal entendu avec mon binôme (Virgil ndlr) donc je voulais recommencer.

Aviez-vous des appréhensions différentes de la première fois ?

Sébastien, mon binôme, n’étant pas du tout un aventurier, j’avais donc peur des difficultés que l’on allait rencontrer.

Comment avez-vous vécu votre relation avec votre binôme sur l’île ?

J’ai vécu un enfer, j’ai passé la moitié de mon temps à pleurer et l’autre moitié de mon temps à le récupérer. Il a eu de la chance d’être avec une fille comme moi qui savait mettre de côté les problèmes personnels pour performer dans les épreuves.

En début d’aventure, les déclarations de Benjamin vous ont-elles fait souffrir ?

Je l’ai vécu comme une trahison. Je me suis confié à lui comme à un ami et il s’en est servi contre moi pour m’affaiblir dans l’émission. Si je le croise aujourd’hui je le salue quand même mais j’ai trouvé dommage qu’en tant qu’ami il me fasse du mal.

Quelles étaient les forces et les faiblesses de votre binôme ?

Notre faiblesse était que Sébastien écoutait tout le monde à part moi, il était influençable. Et notre force était le mental parce qu’on arrivait à mettre nos problèmes de côté pendant les épreuves.

A première vue, quel binôme redoutiez-vous le plus ?

Laura et Alain avaient l’air sportif mais en réalité ça n’a pas été les plus dangereux. Au final, c’était Paga et Elsa, ils avaient la vitesse, la force et une taille équivalente. Les épreuves se faisaient en duo et avoir trop de différences pouvait déséquilibrer l’équipe et causer la perte de l’épreuve. Avec Sébastien, nous, on se complétait plutôt bien.

« J’ai vécu un enfer, j’ai passé la moitié de mon temps à pleurer »

Comment occupe t-on une journée sur l’île ?

On s’occupe des problèmes des autres (rires). On allait aussi voir dans la forêt s’il n’y avait pas de la nourriture. Les épreuves rythmaient un peu notre journée. On mettait également des stratégies en place pour rester le plus longtemps possible dans l’aventure. Mais, à la fin, lorsqu’on le voit tous les jours les mêmes personnes, on n’en peut plus.

De quoi manque-t-on le plus ?

Le plus dur était le confort. Mon angoisse était le moment où il fallait dormir parce que je savais que j’allais être par terre comme un chien.

La cohabitation sur l’île était-elle compliquée avec les autres candidats ?

Je l’ai plutôt bien vécue. J’étais très contente de m’être bien entendue avec Milla alors qu’elle était auparavant mon ennemie. Elle a été une vraie belle découverte, le fait de se rencontrer dans d’autres circonstances a aidé.

Aujourd’hui ou en est votre relation avec Sébastien ?

Ca reste compliqué, chaotique. On est des phénomènes, et du calme ne ferait pas de mal.

Sentez-vous un véritable attachement du public ?

Oui beaucoup, j’ai une base de fans qui me suit depuis sept-huit ans. Le public s’attache à nous un peu comme on s’attache à des personnages de série télévisée.

Quels sont désormais vos projets ?

Toujours de la télé, avec plaisir. L’idéal serait de continuer sur W9 s’ils ont encore du travail pour moi. J’aime la télé-réalité et cela me rend heureuse. Je compte également partir vivre aux Etats-Unis pour apprendre l’anglais et devenir bilingue.