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Margaux, éliminée des Masters 2020 de N’oubliez pas les paroles : « Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même »

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 21/11/2020 à 22:16 Mis à jour le 21/11/2020 à 22:17

Margaux n’a pas été au bout des Masters 2020 de N’oubliez pas les paroles. Eliminée en demi-finale par Mickaël ce 21 novembre 2020 avec 100 000 euros, la maestro a livré ses impressions à Toutelatele.

Joshua Daguenet : Comment avez-vous appréhendé ce retour à la compétition, huit mois après votre parcours record ?

Margaux : J’étais plus stressée que pendant mon parcours quotidien du fait de ma place dans le classement. Mais en même temps, j’avais hâte de voir tout le monde.

Au début du tournoi, pensiez-vous être au niveau de celui qui vous avait permis de devenir la plus grande maestro ?

C’est différent, car dans les Masters, tous les candidats sont à un très bon niveau. Je savais aussi que j’avais de bonnes capacités, mais les autres en ont aussi d’excellentes. Par rapport au début d’année, je connaissais plus de chansons, mais plus on apprend, plus on s’emmêle les pinceaux.

Avec l’absence des plus grands champions en demi-finale, regrettez-vous de ne pas être allée au bout en échouant sur « Elle a fait un bébé toute seule » de Jean-Jacques Goldman ?

Oui, j’ai forcément un petit regret. J’aurais bien aimé voir ce qu’aurait donné la finale contre Arsène. Après, Michael a totalement mérité sa victoire (les quatre demi-finalistes participaient à leur premier Masters, ndlr), car il a bossé à fond. Il est vrai aussi qu’avec Kévin, ça aurait été un match sympa entre les numéros 1 et 2, mais c’est le jeu.

« Michael a totalement mérité sa victoire, car il a bossé à fond »

Vous étiez la grande favorite de cette soirée. N’avez-vous pas été rattrapée par ce statut et « l’obligation » de saisir une occasion unique ?

Ma défaite n’a rien à voir avec la pression, je n’ai pas noté les bonnes paroles sur la chanson, contrairement à Mickael. En général, je me fie à mes oreilles et à l’émission pour retranscrire les paroles. Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même...

Comment expliquer les nombreuses surprises qui ont marqué cette édition 2020 ?

Le nombre de maestros qui s’est élargi a forcément joué. Tout le monde a beaucoup travaillé, des maestros que l’on n’attendait pas forcément comme Franck ont réussi à battre les plus grands. Paul a été jusqu’en demi-finale alors qu’il est tête de série numéro 32. Sans oublier que de nombreux candidats sont arrivés cette année : Maureen, Arsène, Valérie, Paul, Jérémy, moi...

« Le passage à 32 maestros ? Au début, j’étais mitigée »

Validez-vous le passage à 32 maestros ?

Au début, pour être honnête, j’étais mitigée. En rigolant avec d’autres maestros, nous nous félicitions de ne plus avoir Elodie et Toni, car ils sont super forts. Mais nous étions tout de même contents de les retrouver. La formule à 32 m’a permis de rencontrer plein de maestros même si les chances d’aller en finale se sont réduites.

Votre parcours a été marqué par votre match face à Virginie, devenue l’une de vos amies et qui doit forcément compter dans le bilan de cette aventure...

Exactement, avec Virginie, on ne se connaissait pas du tout, on a été mise en relation par Coralie. Les Masters, ce n’est pas qu’un jeu. Maintenant, si je peux aller en finale l’année prochaine...