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Panique dans l’oreillette > Marie-Anne Chazel et Richard Berry

Tony Cotte
Publié le 23/09/2009 à 22:10 Mis à jour le 09/05/2011 à 22:28

Frédéric Lopez sur France 2

Pour ce nouveau numéro de Panique dans l’oreillette, Frédéric Lopez reçoit deux valeurs sûres du cinéma français. L’un est considér écomme un séducteur né, l’autre comme la bonne copine suite à son rôle, considéré comme « mémorable » par une bonne partie de la population, de Gigi. A l’occasion de leur rentrée théâtrale respective, Richard Berry et Marie-Anne Chazel prennent place dans les fauteuils blancs de l’émission.

Enfant terrible, hyperactif, angoissé, des parents souvent absents ou très occupés, c’est finalement auprès de sa petite soeur que Richard Berry trouve du réconfort. Il la protège et s’occupe d’elle jusqu’à lui « offrir » récemment son propre rein. Adolescent, il a des rêves, il aime se déguiser et cherche à ressembler à Alain Delon son modèle, ainsi que toute la nouvelle génération d’acteurs ténébreux : Robert de Niro, Al Pacino... A 16 ans, il sait que le théâtre peut changer sa vie. Malgré ses complexes il
s’accroche et c’est Anouk Aimée qui lui offre son
premier rôle dans le film Mon premier amour puis c’est dans le film La Gifle qu’il donnera sa première réplique à un monstre du cinéma Lino Ventura. C’est le début de sa carrière...

Marie-Anne Chazel, de son côté, a été bien élevée et de façon stricte dans une famille très religieuse avec un père
Pasteur. Vite, elle se découvre une passion pour la
comédie. Au fil des années, elle a de nombreux amis car elle est « la copine sans défauts » ! Toute la troupe du Splendid a bien voulu témoigner ce soir : Michel Blanc, Gérard Jugnot, Christian Clavier, Josiane Balasko et Martin
Lamotte, ce dernier étant même présent dans la bulle insonorisée des complices. Marie-Anne serait irréprochable, elle sait tout faire ! Pour la bonne cause elle est passée par tous les métiers : régisseuse peintre, électricienne, et en tenue de maçon elle peut même démonter un mur... comme elle le prouve sur le plateau en se servant (brièvement) d’un marteau-piqueur.

Ensemble, les deux invités poussent la chansonnette avec une interprétation improvisée de Paroles Paroles, dans la peau de Dalida et Alain Delon.