Toutelatele

The Good Doctor (TF1) : quand Freddie Highmore (Shaun Murphy) était un psychopathe...

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 28/08/2018 à 18:43 Mis à jour le 29/08/2018 à 12:17

TF1 lance sa série événement The Good Doctor à partir de 21h05 ce mardi 28 août. Les deux premières aventures de la saison 1 - longue de 18 épisodes -, composent cette première soirée.

Le chirurgien Shaun Murphy, tout juste diplôme, est engagé au sein de l’hôpital San José. Atteint des syndrome d’Asperger et du savant, il peine à s’intégrer au sein de l’équipe. Mais son prodige en constitue un élément incontournable de l’établissement, pour le plus grand bien des patients. S’il est admiré par certains, d’autres le jalousent et n’attendent qu’une erreur pour briser sa carrière.

The Good Doctor, dont la saison 2 sera diffusée le 24 septembre prochain aux Etats-Unis, a offert plusieurs cartons d’audience en Europe. En Espagne, son audience a permis à la chaîne Telecinco, de rassembler deux fois plus de téléspectateurs que sa dauphine. Plus de 5 millions d’Italiens ont, quant à eux, apprécié les trois premières missions du chirurgien entre 21 heures et 23h45. Aux USA, la première saison a mobilisé, en moyenne, 9.3 millions de fidèles.

La série est portée par Freddie Highmore, acteur familiarisé avec le grand écran. Il a prêté ses traits et sa voix au personnage éponyme de la trilogie Arthur, réalisée par Luc Besson. Dernièrement, il a joué dans les fils The Journey et Une seconde chance. Mais c’est bien à la télévision que le comédien de 26 ans a fait tressaillir des millions d’Américains.

Entre 2013 et 2017 dans Bates Motel, il a incarné Norman Bates, reprenant le rôle d’Anthony Perkins dans le Psychose d’Alfred Hitchcock. Durant les cinq saisons de la série d’A&E, il a révélé différents maux dont celui du dédoublement de la personnalité, nourrissant une paranoïa et une jalousie meurtrières. Après avoir construit une relation très forte avec sa « mère », (Vera Farmiga), - comme il l’appelait - jusqu’à en tomber amoureux, il a fini par la tuer avant de l’empailler et de lui (re)donner vie, sans réaliser, la plupart du temps, le geste qu’il avait commis.