Un si grand soleil déprogrammé ce 12 mars sur France 2, Anne-Sophie Lapix prolonge le 20 heures jusqu’au prime
L’allocution d’Emmanuel Macron, qui a duré 27 minutes, a mobilisé les antennes des chaines de télévision ce jeudi 12 mars. Dès la fin du discours depuis l’Élysée, à 20h27, les journaux télévisés de TF1, France 2 et M6 ont été prolongés afin de revenir sur les mesures pour lutter contre la propagation du coronavirus.
Les JT se prolongent et bousculent la programmation
Sur M6, Xavier de Moulins a rendu l’antenne à 20h30, contre 20h15 habituellement, réduisant Scènes de ménages à la portion congrue dès 20h50, tunnel publicitaire oblige.
Et si TF1 a annulé son traditionnel, 20h, le mag pour prolonger son JT jusqu’à 20h53, France 2 a supprimé l’épisode de Un si grand soleil. Anne-Sophie Lapix et la Rédaction ont ainsi conservé l’antenne pour débattre, puis poursuivre avec les autres titres d’actualité. Puis, la journaliste a laissé sa place, dès 21h05, à Elise Lucet pour Envoyé Spécial en direct du plateau du JT. Le passage de relai a été réalisé en direct.
L’épisode 404 d’Un si grand soleil sera décalé au vendredi 13 mars. Il est cependant d’ores et déjà disponible sur le replay de France 2. L’épisode 405, prévu ce 13 mars, devrait, quant à lui, être programmé exceptionnellement samedi 14 mars.
Sur France 3, Plus belle la vie a bien été diffusé. Cependant, le feuilleton a commencé avec quinze minutes de retard, à 20h30.
Comme prévu, Cyril Hanouna a pris l’antenne à 20h45 sur C8 pour une spéciale Balance ton post ! dédiée au coronavirus et aux annonces d’Emmanuel Macron.
Ce que vous n’avez pas vu ce 12 mars à 20h45 dans Un si Grand Soleil
Soriano se montre très conciliant à l’égard de Virgile, son agresseur, assurant que le coup de feu a été accidentel et qu’il n’a pas essayé de le tuer. Manu est sceptique et en fait part au principal intéressé, toujours en prison. Manu lui demande de se battre pour sa fille Léa. Entendre le prénom de sa fille déclenche l’hystérie de Virgile qui se rue sur le policier en exigeant qu’il ne parle plus de sa fille.
La juge Cécile Alphand décide de libérer le compagnon d’Ève tout en maintenant sa mise en examen pour coups et blessures. Mais le vent de la liberté ne rafraîchit pas les idées du père endeuillé qui craque en retournant chez lui et en se rendant dans la chambre de sa fille. Auparavant, il a repoussé Ève qui l’attendait à la sortie. L’homme casse tout et semble incontrôlable. Quant à l’enquête, elle se complexifie puisque le trafic de la chaudière n’est pas la cause de l’incendie, mais plutôt la chambre de combustion. Reste à définir d’autres suspects dans ce drame.