Capital : les bijoux low cost, les mariages clé en main, la guerre des roses...

M6 propose un nouvel opus du magazine Capital, avec Bastien Cadéac à la manœuvre, ce dimanche 11 février.

À trois jours de la Saint-Valentin, les journalistes ont enquêté sur la très commerciale fête des amoureux. En ce jour de la mi-février, la moitié des Français envisage d’offrir un cadeau à leur partenaire et par la même occasion, ils font une fleur... aux fleuristes, dont les ventes bondissent de 60% par rapport aux habituelles journées.

La soirée démarre avec le reportage : « Fleuristes, supermarchés : la guerre des roses ». La rose, fleur symbolique de l’amour, représente 80% des ventes fleuries le 14 février, et elles sont achetées au nombre de 19 millions ce jour-ci. Les Français consacrent un budget de 45 euros pour un bouquet, de quoi faire saliver les commerçants dont le chiffre d’affaires annuel est basé entre 5 et 8% lors de cette unique journée. Mais pour accroître les bénéfices, les commerçants boudent la France et se fournissent aux quatre coins du monde : Equateur, Pays-Bas, Kenya... Dans ce cas, comment expliquer le prix exorbitant des compositions et quelles sont les astuces des vendeurs pour rentabiliser au maximum cette journée de l’amour ?

Dans un second temps, Capital s’intéresse aux « Bijoux en or : peut-on faire plaisir à prix cassé ? » Des géants du bijou low-cost font de l’ombre aux grands bijoutiers en proposant des prix défiant la concurrence du haut-de-gamme. Ainsi, pour moins de 300 euros, il est possible d’acquérir une bagué ornée d’or et de diamant, une affaire... en or ! Mais les étiquettes, techniques, indiquent implicitement que les bijoux contiennent de l’or 9 carats et non le 18 carats habituel. Les reporters dévoilent les astuces pour ne plus s’y méprendre. Ainsi, quelle est la réelle valeur de l’or à prix réduit et quels sont les secrets de sa production ?

En parlant de bague, le mariage est le sujet de la dernière enquête du soir : « Mariage clef en main : le nouveau bon plan ? ». Les Français dépensent en moyenne 8 000 euros pour dire oui à leur moitié. Certains couples s’appuient sur un organisateur de mariages, sans se soucier de l’explosion de leur budget. Il en coûte minimum 2 500 euros pour s’attacher les services des spécialistes, de plus en plus nombreux sur le marché. Ces professionnels sont la promesse d’un jour-J gigantesque et magique. Mais la concurrence étant plus rude, quels sont leurs arguments pour convaincre les futurs mariés ? Comment rendent-ils la journée des époux inoubliable ?

Il y a trois semaines, « Le train de vie de l’Etat » avait déposé à quai, 2.66 millions de voyageurs, soit 11.3% de part de marché. « Fleurs, bijoux, mariages : les secrets de ces business en or » est à retrouver à 21 heures ce dimanche 11 février dans Capital.