Toutelatele

Jean-Pierre Foucault (Miss France 2019, TF1) : « Ce n’est pas ma dernière présentation ! »

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 14/12/2018 à 17:36 Mis à jour le 24/05/2019 à 18:27

Ce samedi 15 décembre sur TF1, Jean-Pierre Foucault assure la présentation de sa 24e édition de Miss France à partir de 21 heures. Pour Toutelatele, l’emblématique animateur de Qui veut gagner des millions ? a partagé sa joie de revenir chaque année pour désigner l’heureuse élue et évoqué le retour du célèbre jeu de culture générale en 2019.

Joshua Daguenet : La présentation de Miss France reste un grand plaisir pour vous chaque année...

Jean-Pierre Foucault : Bien sûr, j’ai de la chance d’être entouré de trente jeunes filles qui représentent leur région par leur grâce, leur beauté et leur intelligence. Pour moi, c’est une fierté et j’attends cela avec impatience chaque année.

C’est une aventure partie pour durer encore un long moment ?

J’ai déjà bien servi au sens noble du service mais on verra. Aujourd’hui, c’est moi et, à ce que je sache, ce n’est pas ma dernière présentation de Miss France !

Pourquoi avoir choisi Camille Combal pour vous succéder dans Qui veut gagner des millions ?

Parce qu’il en a les capacités. Je l’ai vu à l’oeuvre dans Danse avec les stars et je l’appréciais beaucoup en tant que chroniqueur chez Hanouna. Nous avons des points communs : il habite dans le Midi, pas loin de chez moi, il aime les vieilles voitures et l’Olympique de Marseille comme moi. Aussi, je me suis vu dans mes plus jeunes années en le voyant travailler. Maintenant, c’est à lui de travailler.

L’arrivée de Camille Combal dans Qui veut gagner des millions a été tout de même facilitée par son arrivée à TF1...

Il faut regarder à l’intérieur de ce qui se fait dans notre maison. Je suis très corporate, j’ai été le premier engagé lors de la privatisation de TF1 en juin 1987 et ma première émission s’est déroulée le 2 septembre.

Redoutez-vous ce passage à relais ?

Pas du tout, sinon je ne l’aurais pas passé. J’ai fait 52 ans de radio et, pour ma dernière, je m’étais dit que cela serait difficile mais ça n’a été que l’évolution normale des choses. La seule chose à regretter aurait été de ne pas faire de carrière, ce qui n’est pas mon cas.