L’heure des pros : l’horreur frappe CNews, Pascal Praud affaibli
Alors que Julien Pasquet a conclu la semaine de L’heure des pros ce vendredi 29 avril 2022, la veille, Pascal Praud a signé des performances en demi-teinte sur CNews.
CNews propose de suivre le talk L’heure des pros du lundi au vendredi. Hormis le dernier numéro de la semaine, Pascal Praud est chargé de piloter les différents échanges. Ces derniers jours, les tensions accrues entre la Russie et l’Ukraine ont vite balayé le résultat de l’élection présidentielle dans la hiérarchie des débats.
Entre 20h05 et 20h55, Julien Pasquet a accueilli Elisabeth Lévy, Patrick Roger, Kévin Bossuet et Amin Mbarki pour évoquer l’hypothèse d’une troisième guerre mondiale avancée par la télévision russe, les relations dégradées entre Emmanuel Macron et Edouard Philippe mais aussi les dépistages accélérés à Pékin pour contrer la recrudescence du Coronavirus.
La télévision russe inquiète Julien Pasquet
En introduction, Julien Pasquet s’est dit « horrifié » et « glacé » par une séquence diffusée sur la première chaîne russe dans laquelle la journaliste avance la menace d’un troisième conflit mondial. Des menaces pas prises au sérieux par Elisabeth Lévy tandis que le meneur des débats a émis l’hypothèse d’une « simple provocation » tout en concédant que ces extraits lui ont fait « froid dans le dos ».
Vingt-quatre heures plus tôt, Elisabeth Lévy apportait la contradiction à Gilles-William Goldnadel, Luc-Antoine Lenoir et Jean-Louis Burgat pour commenter la stratégie de Joe Biden en Ukraine, la réaction de François Hollande quant aux négociations PS / LFI pour les législatives mais aussi l’identité du futur Premier Ministre d’Emmanuel Macron.
Pascal Praud timide en soirée
L’édition matinale du jeudi 28 avril 2022 a séduit 363 000 Français entre 9 heures et 10h30, correspondant à une part d’audience à hauteur de 12.2%, dont 10.2% des CSP+ et 11.5% des 25-49 ans. En soirée, le journaliste de RTL a pu compter sur 518 000 fidèles, représentant 2.5% des téléspectateurs et 2.3% des CSP+. Une performance dans la moyenne basse de cette tranche.