Panique dans l’oreillette > Laurence Boccolini et Dominique Farrugia

Laurence Boccolini aime les grands standards de la chanson, de ABBA à Elton John, dont elle est particulièrement fan au point de répondre un jour à une annonce de RTL qui déclenchera toute sa
carrière : elle envoie une cinquantaine de cartes postales à la radio qui annonce un concours pour gagner le droit de rencontrer et d’interviewer son idole Elton John. Vu l’insistance de cette jeune fille, Jean-Bernard Hébey la reçoit et lui laisse mener toute l’interview à sa place. « Un miracle », avoue-t-elle avec le recul. En effet, grâce à « des questions pertinentes et sans complaisance », elle se fait remarquer et reviendra à la radio.

Du côté de Dominique Farrugia, ses complices, à savoir Pierre Lescure, Chantal Lauby ou encore Cyril Hanouna, font preuve d’humour et de tendresse à son encontre. Les téléspectateurs apprennent ainsi que ce « Nul » est très potache dans la vie, toujours prêt à rire d’une bonne blague.
Mais l’ambiance devient aussi riche en émotions quand Chantal Lauby revient sur la genèse des « Nuls et, par conséquent, sur leur complice Bruno Carrette « disparu trop tôt ».

Dans les années 90 (comme aujourd’hui d’ailleurs), les temps sont durs. À cette époque, Laurence Boccolini mise sur l¹écriture et fait de nouvelles rencontres : Virginie Lemoine, Didier Gustin, présents dans la bulle insonorisée des complices... Puis arrive à la télévision et trouvera le bonheur, son futur mari, alors qu’elle présente « Mister France » produit par Gérard Louvin. Frédéric Lopez lui réserve une surprise : la venue de la troupe de la comédie musicale « Mamamia » avec lequel elle chante même sur le plateau !

Pour sa part, et malgré sa maladie, Dominique Farruggia est un modèle de courage à en croire ses amis, dont Alexandre Pesle dans la bulle insonorisée, mais également Jonathan Lambert et Manu Payet qui lui ont préparé un hommage en images...